Category: Tendances du marché

Le secteur industriel évolue constamment avec de nouvelles tendances et innovations. Suivez l’actualité du marché, les évolutions technologiques, les réglementations et les stratégies adoptées par les entreprises pour rester compétitives. Découvrez les analyses et perspectives qui façonnent l’industrie de demain.

  • Industrie et écologie : un défi pour l’avenir

    Industrie et écologie : un défi pour l’avenir

    [et_pb_section fb_built=”1″ _builder_version=”4.27.4″ _module_preset=”default” custom_padding=”0px||0px|||” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_row _builder_version=”4.27.4″ _module_preset=”default” min_height=”2399px” custom_padding=”||0px|||” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.27.4″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_text _builder_version=”4.27.4″ _module_preset=”default” custom_margin=”||-117px|||” custom_padding=”||0px|||” hover_enabled=”0″ global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content” sticky_enabled=”0″]L’industrie est souvent perçue comme une source majeure de pollution et de consommation de ressources. Pourtant, ces dernières années, de nombreuses entreprises ont pris conscience de leur impact environnemental et s’engagent dans une transition vers des modèles plus durables. Loin d’être un frein à la productivité, l’écologie peut devenir un levier de performance et d’innovation pour les industriels.

    Vers une production plus responsable


    Les nouvelles technologies permettent d’améliorer l’efficience énergétique, de réduire les déchets et d’optimiser l’utilisation des matières premières. L’adoption de solutions digitales, comme les systèmes de monitoring en temps réel, offre la possibilité de suivre avec précision les performances des chaînes de production et d’identifier les gisements d’économies.

    Le rôle de l’optimisation industrielle dans la transition écologique


    L’optimisation des performances industrielles est un levier puissant pour réduire l’impact environnemental des usines, et c’est précisément la mission de TEEPTRAK. En s’appuyant sur des systèmes de suivi et d’analyse en temps réel, les industriels peuvent identifier avec précision les gaspillages de ressources, les pertes d’énergie et les inefficacités opérationnelles.

    En permettant une réduction drastique des rebuts et des reprises de production, nos solutions permettent aux entreprises à consommer moins de matières premières et d’énergie, tout en diminuant leur volume de déchets industriels. L’élimination des arrêts non planifiés et des inefficacités dans les processus réduit non seulement les coûts, mais aussi l’empreinte carbone liée aux cycles de production inutiles.

    Cette approche s’inscrit dans une logique d’industrie durable, où la performance rime avec responsabilité environnementale. Plutôt que d’opposer productivité et écologie, nous démontrons qu’une gestion intelligente de la production permet d’allier compétitivité et engagement environnemental.

     

    Recycler et repenser les matières premières


    L’économie circulaire est une piste majeure pour rendre l’industrie plus respectueuse de l’environnement. De nombreuses entreprises revalorisent désormais leurs déchets ou intègrent des matières recyclées dans leurs processus de production. Cette approche réduit non seulement la dépendance aux ressources naturelles mais diminue aussi les déchets industriels.

    Enjeux écologiques : une responsabilité collective


    Les réglementations environnementales deviennent de plus en plus strictes, et l’industrie doit continuer à adapter ses pratiques pour préserver la planète. Réduire les émissions, optimiser l’utilisation des ressources et minimiser les déchets sont désormais des priorités, non seulement pour se conformer aux exigences légales, mais aussi pour contribuer activement à un avenir durable.
    Chaque entreprise a un rôle à jouer dans cette transition, où performance et respect de l’environnement peuvent évoluer en harmonie. Protéger les ressources naturelles n’est plus une simple question de réglementation, mais un enjeu pour les générations futures.

    Conclusion : L’industrie et l’écologie, un mariage gagnant


    Contrairement aux idées reçues, industrie et écologie ne sont pas incompatibles. Bien au contraire, une gestion responsable de la production est un véritable atout stratégique pour les entreprises. Grâce aux innovations technologiques, à des modèles économiques plus durables et à une gestion optimisée des ressources, l’industrie est en mesure de jouer un rôle de leadership dans la transition écologique. Ensemble, nous pouvons bâtir une industrie respectueuse de l’environnement tout en assurant son succès économique.

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    • TEEPTRAK Chine inaugure de nouveaux bureaux plus spacieux à Shenzhen pour accélérer son développement en Chine

      TEEPTRAK Chine inaugure de nouveaux bureaux plus spacieux à Shenzhen pour accélérer son développement en Chine

      [et_pb_section fb_built=”1″ _builder_version=”4.27.4″ _module_preset=”default” custom_margin=”||-157px|||” custom_padding=”0px|||||” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_row _builder_version=”4.27.4″ _module_preset=”default” custom_padding=”42px||42px||false|” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.27.4″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_text _builder_version=”4.27.4″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”]

      Dans le cadre de notre expansion mondiale, TEEPTRAK est ravi de dévoiler l’ouverture d’un tout nouveau bureau à Shenzhen, une ville phare de l’innovation en Chine Depuis notre arrivée sur ce marché en 2019, nous avons connu une croissance remarquable, consolidant notre position auprès des industriels asiatiques. Ce déménagement dans des locaux plus spacieux et plus modernes marque une étape clé de notre développement et démontre notre engagement à soutenir la croissance de l’industrie 4.0 en Chine.

      Un bureau stratégique pour accélérer notre croissance en Chine :

      Situé au cœur du parc d’innovation technologique de Shenzhen, notre nouveau bureau bénéficie d’un environnement dynamique et en plein développement, idéal pour promouvoir l’innovation et l’excellence. Shenzhen, reconnue comme un centre névralgique pour les technologies avancées et l’industrie, nous offre une proximité accrue avec nos clients et partenaires, ainsi qu’une plate-forme idéale pour renforcer nos projets à la fois locaux et internationaux.

      Cet investissement stratégique dans un espace plus grand nous permet d’accompagner notre équipe locale en pleine expansion. Nous visons à renforcer la proximité avec nos clients, à continuer de leur offrir des solutions sur mesure et à transformer efficacement leurs processus de production grâce à notre technologie.

      TEEPTRAK : une équipe en pleine croissance pour relever les défis de l’industrie :

      Depuis notre implantation en Chine il y a six ans, le succès de TEEPTRAK en Asie repose sur l’engagement sans faille de notre équipe à Shenzhen et sur des partenariats solides établis avec des grands groupes industriels. Qingfa Wire Yao, membre clé de cette équipe depuis le tout début, a récemment été promu au poste de responsable régional. Fort de sa connaissance approfondie du marché chinois et de son expertise industrielle, il continue de jouer un rôle déterminant pour guider notre stratégie de croissance, renforcer notre ancrage local et tisser des liens plus étroits avec les acteurs clés de l’industrie.

      En parallèle, dans le cadre de notre expansion globale, nous renforçons notre équipe de Shenzhen en recrutant de nombreux nouveaux talents. Cette consolidation nous permettra de saisir de nouvelles opportunités et de répondre de manière encore plus efficace aux besoins croissants et diversifiés du secteur industriel en Chine.

      Le rôle de TEEPTRAK en tant que leader dans le secteur industriel chinois :

      Ce nouveau bureau représente une étape clé pour TEEPTRAK dans son objectif de renforcer sa position en Chine et dans la région Asie-Pacifique. Nous sommes convaincus que cette initiative nous permettra d’offrir un service toujours plus adapté à nos clients, de promouvoir l’innovation et de participer activement à la modernisation des usines chinoises.

      Découvrez des images de notre équipe en Chine et quelques photos de notre nouveau bureau en transformation.

      [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section][et_pb_section fb_built=”1″ _builder_version=”4.27.4″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_row _builder_version=”4.27.4″ _module_preset=”default” custom_padding=”|63px||63px||true” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.27.4″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_image src=”https://teeptrak.com/wp-content/uploads/2025/01/Work-Hall-1-scaled.jpg” alt=”Salle de travail à Shenzhen ” title_text=”Salle de travail 1″ align=”center” _builder_version=”4.27.4″ _module_preset=”default” width=”100%” custom_margin=”|17px||||” custom_padding=”|||3px||” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][/et_pb_image][et_pb_image src=”https://teeptrak.com/wp-content/uploads/2025/01/1-scaled.jpg” alt=”Équipe TEEPTRAK Chine ” title_text=”1″ _builder_version=”4.27.4″ _module_preset=”default” width=”100%” custom_padding=”|0px|0px|0px||” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][/et_pb_image][et_pb_image src=”https://teeptrak.com/wp-content/uploads/2025/01/2-scaled.jpg” alt=”L’équipe de TEEPTRAK Chine s’est réunie autour d’un gâteau pour célébrer l’ouverture du nouveau bureau.” title_text=”2″ _builder_version=”4.27.4″ _module_preset=”default” custom_padding=”|0px|0px|0px||” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][/et_pb_image][et_pb_image src=”https://teeptrak.com/wp-content/uploads/2025/01/5.jpg” alt=”Wire Yao (QingFa) conduisant le directeur national lors de la célébration de l’ouverture du nouveau bureau de TEEPTRAK.” title_text=”5″ _builder_version=”4.27.4″ _module_preset=”default” custom_padding=”|4px||0px||” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][/et_pb_image][et_pb_image src=”https://teeptrak.com/wp-content/uploads/2025/01/3-scaled.jpg” alt=”Une partie de l’équipe de TEEPTRAK Chine célébrant l’ouverture du nouveau bureau.” title_text=”3″ _builder_version=”4.27.4″ _module_preset=”default” custom_padding=”|3px||0px||” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][/et_pb_image][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]

    • Qu’est-ce que l’industrie 4.0 ? Comprendre le Concept et ses Enjeux

      Qu’est-ce que l’industrie 4.0 ? Comprendre le Concept et ses Enjeux

      [et_pb_section fb_built=”1″ _builder_version=”4.16″ global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content” min_height=”5982.4px”][et_pb_row _builder_version=”4.16″ background_size=”initial” background_position=”top_left” background_repeat=”repeat” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.16″ custom_padding=”|||” global_colors_info=”{}” custom_padding__hover=”|||” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_text _builder_version=”4.27.4″ background_size=”initial” background_position=”top_left” background_repeat=”repeat” width=”100%” custom_padding=”|||1px||” hover_enabled=”0″ global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content” sticky_enabled=”0″]

      L’industrie 4.0 marque une étape décisive dans l’évolution industrielle. Elle intègre des technologies de pointe pour optimiser les processus de production, reliant les machines, les données et les humains. Cette transformation touche tous les aspects de l’usine, avec des implications profondes pour l’entreprise, ses clients et la manière dont les produits sont conçus, fabriqués et livrés. Mais quelles sont les technologies et les avantages de cette nouvelle révolution industrielle ? Voyons cela de plus près.

      Introduction à l’industrie 4.0

      L’industrie 4.0 repose sur l’intégration des systèmes cyber-physiques, de l’internet des objets et de l’intelligence artificielle dans les chaînes de production. Ce modèle innovant permet une automatisation avancée et une communication en temps réel entre les machines et les humains, optimisant ainsi la productivité, la qualité et la flexibilité des usines. Les entreprises adoptent progressivement ces technologies pour rester compétitives dans un marché en pleine transformation.

      Définition et origine du concept

      Le terme “industrie 4.0” a été introduit lors de la foire de Hanovre en 2011. Il désigne la convergence entre le monde physique et le monde numérique à travers des systèmes interconnectés. Ces technologies permettent de collecter, analyser et utiliser des données en temps réel afin d’améliorer les processus de production. L’idée est d’optimiser chaque étape de la chaîne de fabrication en connectant toutes les ressources disponibles : machines, humains, et produits.

      Les grandes révolutions industrielles menant à l’industrie 4.0

      L’industrie a connu quatre grandes révolutions : la première avec la machine à vapeur, la seconde avec l’électricité, la troisième avec l’informatique et l’automatisation, et enfin l’industrie 4.0. Cette dernière pousse l’automatisation à son apogée, en connectant les systèmes de production via des réseaux intelligents. Chaque étape a profondément modifié la manière de produire et de consommer, l’industrie 4.0 étant la plus avancée.

      Les technologies clés de l’industrie 4.0

      L’industrie 4.0 s’appuie sur un ensemble de technologies qui transforment les usines en environnements intelligents. Ces technologies permettent une production plus agile et personnalisée, en intégrant des outils comme l’internet des objets, la robotique avancée, l’intelligence artificielle et les systèmes cyber-physiques. Cette transformation affecte tous les aspects de la chaîne de production, des machines aux humains, jusqu’aux produits et clients.

      Que sont les technologies 4.0 ?

      Les technologies 4.0 regroupent l’internet des objets, la robotique collaborative, le cloud computing, l’intelligence artificielle, et les systèmes cyber-physiques. Elles permettent de connecter les machines, les outils et les humains via des réseaux intelligents. Cela améliore l’échange d’informations et facilite la prise de décision en temps réel dans les usines. Ces innovations conduisent à des gains de productivité importants et une flexibilité accrue dans les processus de fabrication.

      Les composants essentiels de l’industrie 4.0

      Les composants clés incluent les capteurs intelligents, l’internet des objets (IoT), les robots collaboratifs et l’intelligence artificielle. Ces outils permettent de recueillir des données précises sur chaque étape du processus de production. Ces données sont ensuite analysées pour optimiser la gestion des ressources, améliorer la maintenance prédictive des machines, et assurer une production flexible, répondant aux demandes variables des clients.

      Quelles applications pour l’industrie 4.0 ?

      L’industrie 4.0 s’applique dans des domaines variés : la gestion de la maintenance prédictive, la production en temps réel, l’optimisation de la chaîne logistique, et la personnalisation des produits. Les entreprises peuvent offrir des services plus réactifs, réduire les temps d’arrêt grâce aux données collectées, et améliorer leur productivité. Ces avancées apportent également des solutions pour répondre aux attentes des clients, tout en offrant des produits sur mesure.

      Avantages de l’industrie 4.0

      Les bénéfices de l’industrie 4.0 sont multiples : elle améliore la réactivité des entreprises, optimise les processus, et ouvre la voie à une production plus agile et personnalisée. En intégrant des systèmes intelligents, les usines peuvent mieux anticiper les pannes, améliorer la gestion des ressources, et offrir des produits de qualité supérieure tout en réduisant les coûts de production.

      Amélioration de la productivité et de la flexibilité

      Grâce aux technologies de l’industrie 4.0, les entreprises bénéficient d’une meilleure productivité en automatisant une grande partie des processus. La flexibilité accrue permet de s’adapter rapidement aux changements de la demande, en offrant des produits personnalisés ou en ajustant les volumes de production. Cette souplesse devient un atout essentiel dans un marché en constante évolution.

      Économies potentielles et amélioration de la qualité de production

      L’industrie 4.0 permet de réaliser des économies en optimisant l’utilisation des ressources et en réduisant les temps d’arrêt des machines grâce à une maintenance prédictive. De plus, la précision offerte par les technologies numériques assure une amélioration continue de la qualité des produits, réduisant ainsi les défauts et les reprises. Ces gains en efficacité et en qualité se traduisent par une augmentation de la productivité et une meilleure satisfaction des clients.

       

      Comment intégrer l’industrie 4.0 dans les opérations existantes ?

      L’intégration de l’industrie 4.0 dans les opérations existantes nécessite une approche stratégique. Moderniser les usines et les processus de production est une révolution qui implique l’utilisation des nouvelles technologies et des systèmes intelligents pour automatiser et optimiser les chaînes de fabrication. Cette transformation permet aux entreprises de rester compétitives tout en améliorant la productivité et en offrant des produits de meilleure qualité. Voyons comment mettre en place cette évolution.

      Stratégies pour moderniser les installations et processus

      Les entreprises doivent d’abord évaluer leurs installations existantes et identifier les domaines où les technologies de l’industrie 4.0 peuvent être introduites. Cela passe par l’automatisation des machines, la collecte de données en temps réel, et la mise en place de systèmes intelligents pour surveiller et optimiser les processus. L’internet des objets (IoT) et les outils d’intelligence artificielle jouent un rôle clé dans cette modernisation en offrant des solutions pour améliorer la communication et la gestion des ressources.

      Gestion des coûts et complexité de la transition

      L’intégration de l’industrie 4.0 implique des coûts initiaux liés à l’acquisition de nouvelles technologies, à la formation des équipes et à la réorganisation des usines. La gestion de cette transition nécessite une planification minutieuse pour éviter des interruptions de production. Toutefois, les économies à long terme, notamment via la maintenance prédictive des machines, l’amélioration de la productivité et la réduction des déchets, compensent ces investissements. Les entreprises doivent adopter une approche progressive pour maîtriser la complexité de cette transformation.

      Enjeux et perspectives pour l’avenir

      L’industrie 4.0 représente l’avenir de la production industrielle, mais elle pose aussi des défis. Alors que les usines se transforment pour devenir plus intelligentes et connectées, les entreprises doivent s’adapter à un environnement en perpétuelle évolution. Les technologies émergentes changent les attentes des clients et la manière dont les produits sont conçus et livrés. L’anticipation de ces changements est essentielle pour rester compétitif dans cette nouvelle ère industrielle.

      Pourquoi l’industrie 4.0 est-elle essentielle à votre entreprise ?

      Adopter l’industrie 4.0 est crucial pour rester compétitif dans un monde en mutation rapide. Les entreprises peuvent offrir des produits plus personnalisés, réduire les coûts et améliorer la satisfaction des clients. En utilisant des données en temps réel pour optimiser les processus, elles deviennent plus réactives et résilientes face aux fluctuations du marché. Cette révolution ouvre la voie à de nouveaux modèles d’affaires basés sur l’internet des objets, les services numériques, et l’intelligence artificielle.

      Les évolutions émergentes dans les usines 4.0

      Les usines continuent de se transformer avec des innovations telles que la robotique collaborative, l’intelligence artificielle, et les jumeaux numériques. Ces technologies permettent une gestion en temps réel de la chaîne de production et une utilisation optimisée des ressources. De plus, des avancées comme la maintenance prédictive des machines et l’amélioration continue des systèmes de communication changent la manière dont les humains interagissent avec la technologie, facilitant la prise de décisions rapides et efficaces.

      Comment l’industrie française peut-elle s’adapter à l’usine 4.0 ?

      L’industrie française doit investir dans les nouvelles technologies et adapter ses usines pour tirer parti des avantages de l’industrie 4.0. Cela inclut l’amélioration des compétences des travailleurs pour qu’ils maîtrisent les outils numériques et collaborent avec les machines intelligentes. La gestion des données et des réseaux interconnectés devient essentielle pour améliorer la productivité et la compétitivité. En s’appuyant sur des politiques de soutien à l’innovation, l’industrie française peut réussir cette transformation vers l’usine du futur.

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.27.2″ _module_preset=”default” text_font=”|300|||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_2_font_size=”28px” locked=”off” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]

    • Écologie et économie, ennemis ou alliés ?

      Écologie et économie, ennemis ou alliés ?

      [et_pb_section fb_built=”1″ _builder_version=”4.16″ custom_padding=”0px|||||” global_colors_info=”{}”][et_pb_row _builder_version=”4.16″ background_size=”initial” background_position=”top_left” background_repeat=”repeat” global_colors_info=”{}”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.16″ custom_padding=”|||” global_colors_info=”{}” custom_padding__hover=”|||”][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” header_font_size=”32px” custom_margin=”||1px|||” global_colors_info=”{}”]

      Écologie et économie, ennemis ou alliés ?

      [/et_pb_text][et_pb_image src=”https://teeptrak.com/wp-content/uploads/2024/12/trait-horizontal.png” title_text=”horizontal-split” _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}”][/et_pb_image][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” text_font=”||||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_font_size=”32px” global_colors_info=”{}”]

      À quelques mois des élections présidentielles, tous les hommes et femmes politiques de l’hexagone souhaitent s’attirer la faveur des Français. Beaucoup de sujets font le buzz, mais il est important de garder à l’esprit les sujets prioritaires pour l’avenir. Quels sont-ils ? Au-delà du coût des énergies par exemple, qui nous rend la vie difficile, il faut dès aujourd’hui regarder vers l’horizon. Comment nous assurer un avenir serein, à court, moyen et long terme ?

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” text_font=”||||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_font_size=”32px” header_2_font_size=”28px” custom_margin=”||50px|||” global_colors_info=”{}”]

      Quels sont les sujets importants ?

      Plusieurs facteurs influent sur les priorités de demain. D’abord le vieillissement de la population. Il va obliger les futurs et actuels travailleurs à produire de la richesse, pour permettre aux plus anciens de vivre décemment. Ensuite, pour perdurer dans la vie décente; l’écologie, qui permettra aux futures générations de vivre… tout court.

      À l’heure de la robotisation, de l’intelligence artificielle et de la relocalisation, le sujet de la création d’emploi et celui de l’écologie ne peuvent pas être abordés séparément.

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” text_font=”||||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_font_size=”32px” header_2_font_size=”28px” custom_margin=”||50px|||” global_colors_info=”{}”]

      Écologie et économie, opposés mais indissociables

      Lorsque l’on écoute les écologistes profondément investis, voire un peu extrêmes, on entend souvent revenir les sujets de la désindustrialisation, du recul de la création de valeur, ou encore de la sortie du modèle capitaliste. « Tout le monde pourrait se nourrir en entretenant son potager, pas besoin de faire venir des avocats de l’autre bout de la planète » Nous faisons ici une image un peu caricaturale de l’écologiste.

      De l’autre côté, l’économiste veut relancer la machine à produire, pour créer du capital. Créer du capital emploi, du capital pécunier, pour permettre à tout le monde de se nourrir et de vivre. Ici, pas de potager mais des fermes aux rendements plus importants, pour nourrir les travailleurs, mais aussi les actionnaires.

      Après ces deux descriptions brèves, les visions semblent réellement opposées. Mais si elles étaient complémentaires ? Si l’on pouvait relancer l’économie, en utilisant les principes de l’écologie ? Produire de la valeur localement, issue de matières premières de proximité, afin de créer de l’emploi, des innovations, et donc de faire avancer le pays.

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” text_font=”||||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_font_size=”32px” header_2_font_size=”28px” custom_margin=”||50px|||” global_colors_info=”{}”]

      Deux sujets au cœur du débat publique

      Pour preuve de l’intérêt qui est porté à ces deux sujets, notre Président de la République a présenté le 12 octobre le plan France 2030 avec un investissement de 30 milliards d’euros à destination de l’industrie… Mais pas seulement ! Sur les dix objectifs pour 2030 donnés par Emmanuel Macron, plus de la moitié vont dans la direction de la diminution de la pollution. Six de ces objectifs traitent d’agroalimentaire plus durable, d’avions « bas-carbone » produits en France, ou encore de fabrication de véhicules électriques ou hybrides.

      L’idée n’est pas de mettre en avant le programme à long terme du gouvernement, mais de montrer que ces sujets peuvent cohabiter. C’est même en synergie que l’économie et l’écologie peuvent atteindre leur cible commune, la sécurité des générations actuelles et futures.

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” text_font=”||||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_font_size=”32px” header_2_font_size=”28px” custom_margin=”||50px|||” global_colors_info=”{}”]

      La prise de conscience, un besoin réel

      Les besoins permettant d’aller vers une transition écologique ne sont pour la plupart pas insurmontables. La plus grande partie peut même être bénéfique à tous. Un exemple avec le coût des containers qui s’envole en ce moment. Certains produits dont la matière première vient d’Amérique du Sud sont travaillés en Chine pour être finit d’assembler en France. Le consommateur achète donc un produit « made in France ». Vous êtes heureux d’avoir contribué positivement à l’économie du pays, mais ce que vous ignorez, c’est que l’impact écologique est considérable.

      Il est vrai, on ne choisit pas l’implantation des matières premières. Mais faire la première partie du travail à l’autre bout du monde n’est pas raisonnable. En plus du transport, les normes environnementales ne sont pas les mêmes qu’en France. Les usines ne travaillent pas dans les mêmes conditions de respect de l’environnement.

      Il est donc indispensable de mettre en évidence ces produits « made in France », mais travaillés à l’autre bout du monde.

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” text_font=”||||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_font_size=”32px” header_2_font_size=”28px” custom_margin=”||50px|||” global_colors_info=”{}”]

      Réunir les économistes et écologistes pour avancer ensemble

      Nous parlions plus haut de la hausse des prix des conteneurs depuis la Chine vers la France, multipliés par 4 en moyenne entre 2019 et la rentrée 2021. Les transports de l’autre bout du monde pour économiser de l’argent sont de moins en moins viables économiquement, et clairement destructeurs vis-à-vis de l’écologie. C’est une occasion à saisir pour réindustrialiser le pays. Il faut le faire rapidement, mais proprement.

      Les idées novatrices ne manquent pas, par exemple, la Norvège s’apprête à mettre à l’eau le premier porte-conteneurs électrique. Leur idée étant d’éviter la pollution des moteurs thermiques. La France doit pouvoir investir dans ces startups novatrices. Il faut miser sur celles qui créent de la valeur, de l’emploi, tout en préservant les ressources naturelles.

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.27.4″ _module_preset=”default” text_font=”||||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_font_size=”32px” header_2_font_size=”28px” custom_margin=”||50px|||” hover_enabled=”0″ global_colors_info=”{}” sticky_enabled=”0″]

      Le Lean management, des outils croisant écologie et économie

      Pour commencer dans la transition écologique des industries bien en place, la première des choses à faire est de s’intéresser au Lean Management. En effet, la première leçon à en tirer est la réduction des gaspillages. Soyez en conscients, les MUDAS ne sont ni bons pour le business, ni bons pour la planète.

      Plusieurs catégories de gaspillages sont mises en avant. Nous parlons ici de gaspillage de transport, de sur-qualité qui use prématurément les outils, de surproduction qui consomme des matières premières et de l’énergie non nécessaires, etc…[/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” text_font=”||||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_font_size=”32px” header_2_font_size=”28px” global_colors_info=”{}”]

      Pour conclure sur l’économie et l’écologie

      Tout le monde doit aller à son rythme, car un virage mal négocié peut être fatal, mais nous devons tous aller dans la même direction. Si vous pensez que l’écologie se limite au recyclage des canettes dans la poubelle jaune, vous vous trompez. C’est une manière de penser, qui s’applique au quotidien dans les petites et les grandes décisions. Vous ne verrez plus l’écologie de la même manière quand elle fera vivre vos enfants à travers des emplois et un monde meilleur.

      [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]

    • L’été en industrie : challenges et opportunités

      L’été en industrie : challenges et opportunités

      [et_pb_section fb_built=”1″ _builder_version=”4.16″ global_colors_info=”{}”][et_pb_row _builder_version=”4.16″ background_size=”initial” background_position=”top_left” background_repeat=”repeat” global_colors_info=”{}”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.16″ custom_padding=”|||” global_colors_info=”{}” custom_padding__hover=”|||”][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||2px|||”]

      L’été en industrie : challenges et opportunités

      [/et_pb_text][et_pb_image src=”https://teeptrak.com/wp-content/uploads/2024/12/trait-horizontal.png” _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” title_text=”horizontal-split” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″][/et_pb_image][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||50px||false|false” text_font=”|300|||||||” text_font_size=”16px” text_text_color=”#000000″ custom_padding=”||4px|||”]

      Nous voici déjà mi-juillet; l’été qui nous semblait loin est amorcé, et les beaux jours ne devraient plus tarder. Cela est annonciateur de bonnes nouvelles ! C’est l’arrivée des vacances, pour ceux qui n’en profitent pas déjà actuellement. Pour les autres, les effectifs se réduisent petit à petit. Il va falloir assumer les conséquences de l’été, seul ou en équipe réduite. Que se passe t-il l’été en industrie et quelles conséquences pour l’usine ?

      Plusieurs facteurs impactent l’industrie pendant l’été. Certains dépendent évidemment de votre corps de métier. D’autres répercussions de la saison sont plus génériques et s’appliquent à tous. Mais entre contraintes et vacances, comment passer un bel été industriel ?

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||50px||false|false” text_font=”|300|||||||” text_font_size=”16px” text_text_color=”#000000″]

      La gestion des effectifs, des contraintes supplémentaires pendant l’été

      Les départs en vacances sont (ou étaient) vus de deux manières dans une usine. Pour la hiérarchie c’est une contrainte. De l’autre côté, il y a le point de vue de celui qui part en vacances, qui en est heureux. Soyons sérieux, bien qu’un peu caricaturale, cette vision existe toujours dans l’industrie. Nous allons voir ici qu’au-delà de leur côté obligatoire; les vacances font partie d’un tout qui permet à la l’usine de fonctionner au mieux durant le reste de l’année.

      Alors que la présence diminue, ne peut-on pas en dire autant du carnet de commandes ? Hormis dans les industries touchant à des secteurs tendus, comme le pharmaceutique, la demande décroît durant les deux mois d’été. Plus encore au mois d’août.

      Cette année a encore été différente. Avec ces moments difficiles, une fatigue générale se fait sentir. À tous les niveaux, mais surtout pour les opérateurs, techniciens et managers d’atelier qui ont vu leurs conditions de travail se dégrader avec les mesures sanitaires. Il n’est souvent plus possible de manger avec ses collègues sans un plexiglas qui vous sépare. Le port du masque obligatoire provoque des difficultés de communication. Les pauses sont décalées et les relations sociales en sont atteintes.

      Ces vacances en plus d’être méritées seront l’occasion pour vos équipes de profiter de la fenêtre qui va nous permettre à tous de profiter. On parle de congés qui vont nous permettre de reprendre en étant reposés. Une rentrée bien préparée est une rentrée réussie. Mais comment préparer cette rentrée ?

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||50px||false|false” text_font=”|300|||||||” text_font_size=”16px” text_text_color=”#000000″]

      Préparer sa rentrée, la solution pour passer un été serein

      Une des conséquences de l’été sur l’industrie est le ralentissement des commandes et donc des machines. Plusieurs options s’offrent à vous pour utiliser ce temps à bon escient, et préparer au mieux le redémarrage de septembre. Si votre machine ne produit pas parce que les personnes en charge sont en congés, pourquoi ne pas profiter de ce temps pour y faire de la maintenance ?

      Durant tout le reste de l’année, la charge machine et la disponibilité des personnes sont deux facteurs qui repoussent les opérations de maintenance. On se retrouve alors parfois avec des solutions provisoires qui restent pendant plusieurs mois. L’esprit humain s’habitue à ce genre de problème, et ne les voit plus comme tels avec le temps. Avant les vacances, vous pourrez demander à la personne en charge de la machine si une opération de maintenance est nécessaire. Sans doute vous dira t-elle que oui, mais pensera t-elle à la contre-mesure (qui fonctionne malgré tout) installée depuis février ?

      Si vous souhaitez redémarrer votre production sereinement à la rentrée, n’hésitez pas à faire le tour de vos équipements critiques. L’idéal serait de vous fier à l’historique de pannes de chaque équipement. De cette manière, vous pourriez vérifier chaque point ayant déjà provoqué un arrêt. N’hésitez pas à ouvrir la documentation technique au préalable. Souvent oubliée, elle est riche en conseils donnés par le constructeur. Cela vous permettra de profiter de la rentrée pour livrer toutes vos commandes à l’heure grâce à des machines fiables. Et si cela ne suffisait pas ?

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||50px||false|false” text_font=”|300|||||||” text_font_size=”16px” text_text_color=”#000000″]

      Quand votre industrie ne s’arrête pas durant l’été

      Alors que certains voient d’un mauvais œil leurs vacances en même temps que les écoles, cela peut être pour vous une opportunité. En effet, l’atelier même s’il est moins rempli peut quand même produire. Et que diriez-vous d’arriver en septembre avec de l’avance sur vos commandes ? Pour les personnes de confiance, il est facile de travailler en autonomie. Cela peut vous permettre de laisser quelques personnes en production pendant la période creuse. Bien souvent, la productivité augmente même durant ces temps. Avec moins de pression, et en étant moins dérangés, nos producteurs peuvent se concentrer sur les tâches à valeur ajoutée. Attention cependant, il ne faut pas que la diminution de l’effectif entraîne un relâchement des règles de sécurité et de qualité.

      Dans les plus grandes structures, il peut être compliqué de laisser des opérateurs en autonomie, mais la question d’une équipe réduite avec une petite hiérarchie reste envisageable. Ici encore, les bons côtés sont omniprésents. Cela évite d’arrêter les machines trop longtemps, soude les équipes restantes et vous permet de continuer de produire. Il sera important de trouver tout de même du temps pour s’occuper de la maintenance.

      Autre point de vigilance : les consommables. En effet, il peut être plus difficile de s’approvisionner en consommables durant l’été. Il vous faudra anticiper les besoins pour le personnel restant. Cela peut s’avérer facile quand on parle de paires de gants ou d’outils simples. Lorsque la maintenance aura démonté une machine pour vérifier son bon fonctionnement, et qu’il manquera un composant à remplacer périodiquement, l’histoire de ne sera pas aussi simple.

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||50px||false|false” text_font=”|300|||||||” text_font_size=”16px” text_text_color=”#000000″]

      Pour conclure

      Cet été en industrie sera différent pour tous les acteurs. La chose la plus importante pour bien s’y préparer, et pour y être à l’aise est la communication. Vous ne souhaitez pas être dérangé lorsque vous serez en vacances. Soyez-en sûr, votre collègue resté au travail ne souhaite pas non plus interrompre votre quiétude.  Le meilleur moyen d’éviter que cela n’arrive, est que les choses qui doivent être faites le soient. Pour cela, il faudra préparer cette période. Asseyez-vous autour d’une table pour échanger sur vos besoins et vos projets. Une heure dépensée au bon moment peut vous en faire gagner plusieurs au pire moment.

      [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]

    • Dans la course à l’innovation, comment déceler les projets d’avenir ?

      Dans la course à l’innovation, comment déceler les projets d’avenir ?

      [et_pb_section fb_built=”1″ _builder_version=”4.16″ global_colors_info=”{}”][et_pb_row _builder_version=”4.16″ background_size=”initial” background_position=”top_left” background_repeat=”repeat” global_colors_info=”{}”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.16″ custom_padding=”|||” global_colors_info=”{}” custom_padding__hover=”|||”][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||-1px|||”]

      Dans la course à l’innovation, comment déceler les projets d’avenir ?

      [/et_pb_text][et_pb_image src=”https://teeptrak.com/wp-content/uploads/2024/12/trait-horizontal.png” _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” title_text=”horizontal-split” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″][/et_pb_image][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||50px||false|false” text_font=”|300|||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px”]

      La course à l’innovation n’a pas toujours eu lieu. Dans le monde d’aujourd’hui, proposer un produit existant n’est plus suffisant pour se faire une place sur un marché. À l’inverse, il y a quelques années encore, proposer localement une offre déjà disponible ailleurs était viable. Cela pouvait permettre de répondre à une demande. Maintenant, grâce à la mondialisation, il est de plus en plus difficile de combler un manque alors que nous pouvons commercer avec le reste de la planète.

      C’est dans ce contexte que les entreprises ont essayé de se démarquer par leurs innovations. Plutôt que de répondre à un besoin, l’idée est de le créer. Il faut effectuer des changements significatifs par rapport à l’existant pour s’en démarquer.

      On peut citer quelques exemples d’entreprises qui ont su créer un besoin en innovant, comme Steve Jobs avec l’IPhone, ou comme Blablacar avec la démocratisation du covoiturage. Avant son existence, les alternatives au train étaient rares et souvent bien plus chères. Blablacar a été capable de proposer un service jusqu’alors inexistant. Sans parler d’argent, c’est 25 millions de voyageurs par trimestre qui transitent sur leur site.

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||50px||false|false” text_font=”|300|||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px”]

      La course à l’innovation, pas seulement des réussites

      Qui dit course à l’innovation dit rupture. Les consommateurs aiment cependant leurs habitudes et les mentalités sont difficiles à faire changer. On appelle ça la résistance au changement. Il est donc courant que les nouveaux projets ne suscitent pas tout de suite beaucoup d’intérêt. Nous allons parler d’un exemple que les plus jeunes découvriront.

      En 1978 est lancé le Laser Disc pour concurrencer les VHS. Il s’agit d’un disque au diamètre à peu près similaire aux 33 tours qui contient un film. C’est le premier support optique. Avec la possibilité d’y mettre des chapitres et sa qualité nettement supérieure, il avait tout pour remplacer la fameuse K7 vidéo. Cela n’aura pas suffi, la qualité ne fait pas tout. La capacité d’enregistrer sur VHS était un gros plus auquel le consommateur était habitué. Le temps disponible sur les Laser Disc n’était que de 1h maximum par face, contrairement aux K7 vidéo qui pouvaient facilement dépasser les 4 heures. À ses débuts, la presse était optimiste. Il était annoncé comme le support idéal pour les cinéphiles. Finalement, il vécut une dizaine d’année avant de disparaître dans l’oubli. Mais quelle conclusion tirer de cet échec ?

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||50px||false|false” text_font=”|300|||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px”]

      Réussite ou échec ? Tout est question de prise de recul

      Tout d’abord, ce n’est pas réellement un échec. C’était le premier pas de la technologie de lecteur optique. Comme toutes les innovations, elle a suivi « le cycle du hype ». Voyons ça de plus près !

      [/et_pb_text][et_pb_image src=”https://teeptrak.com/wp-content/uploads/2023/06/Visuel-courbe-du-hype-corrige-VF-1024×640-1.jpg” _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ title_text=”Visuel-courbe-du-hype-corrige-VF-1024×640″ custom_margin=”0px||0px||false|false” custom_padding=”0px||0px||false|false”][/et_pb_image][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″]

      Le cycle du hype est sécable en 5 phases. Le cabinet de conseil Gartner dessina la courbe en 1995.

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||50px||false|false” text_font=”|300|||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px”]

      Au démarrage d’une technologie, l’enthousiasme décolle souvent rapidement. C’est le cas avec notre lecteur optique. À ses débuts, il était plébiscité par de nombreux consommateurs et professionnels avec le Laser Disc. C’était le pic des attentes exagérées. Les médias se saisissent du sujet, et expriment d’immenses attentes. Des sociétés se créent et toutes se lancent dans cette course à l’innovation. On se rappelle tous également des attentes autour des imprimantes 3D à leurs débuts.

      Une fois l’euphorie retombée, on rentre dans la phase des désillusions. C’est la fin du Laser Disc, la lecture optique ne fonctionnera pas. La technologie a beaucoup de mal à se vendre et ne satisfait pas pleinement les clients. Les marques arrêtent de fabriquer le produit tel quel et on atteint le fond du gouffre. Et c’est à ce moment que la technologie dont personne n’attend plus rien, et qui semble décevoir tout le monde peut rebondir.

      C’est l’entrée dans la pente de l’illumination. Les fabricants se penchent sur les améliorations possibles à partir des erreurs commises dans le passé. C’est la naissance de produits plus aboutis et plus fiables. Pour rester dans la lecture optique, c’est seulement 4 ans après que sortira le CD tel que nous l’avons connu. Une innovation révolutionnaire pour tous les audiophiles et professionnels du divertissement audio.

      Enfin, le plateau de la productivité. C’est généralement à cette étape du cycle du hype que les entreprises rentabiliseront leur course à l’innovation. C’est la démocratisation de la technologie. Elle est accessible, fiable et tout le monde peut s’en servir.

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||50px||false|false” text_font=”|300|||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px”]

      Comment identifier les projets d’avenir ?

      Les technologies innovantes suivent cette courbe… en général. Certaines, dans le pire des cas ne se relèveront jamais du gouffre des désillusions. On peut penser ici aux Google Glass. Bien qu’elles aient fait beaucoup parler d’elles, il n’y a jamais réellement eu d’engouement pour cette technologie. Elle est restée au stade d’anecdote.

      La première règle à appliquer pour reconnaître les innovations d’avenir des autres est de connaitre cette courbe. Vous pourrez ainsi placer la technologie en question dessus et voir si elle correspond au schéma. La deuxième chose est à absolument garder en tête. Ce n’est pas parce que tout le parle d’un nouveau procédé qu’il va forcément marcher. C’est la démonstration même du cycle du hype.

      Dans cette course à l’innovation, toutes n’avancent pas à la même vitesse. Certaines sont plus rapides que d’autres à avancer. Vous remarquerez qu’il n’y a pas d’échelle de temps sur la courbe. Certaines techniques peuvent être dépassée techniquement avant d’avoir atteint le plateau de la productivité. Ces technologies tombent rapidement dans l’oubli, tel que le caméscope DVD, qui rapidement après sa sortie s’est fait dépasser par ses concurrents à carte mémoire. Un autre conseil est donc de suivre les autres produits novateurs qui pourraient être développés plus rapidement.

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||50px||false|false” text_font=”|300|||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px”]

      Pour conclure cette course à l’innovation

      Dans tous les cas, seule la patience nous montrera les innovations qui sortent du lot. Le bon sens reste notre meilleur ami. Il faut aussi garder à l’esprit que nous pouvons impacter le classement de la course à l’innovation. En effet, les acteurs des projets sont moteurs à leur développement, mais les intéressés et investisseurs sont aussi importants. Prenons l’exemple de l’IOT (Internet Of Things), les écosystèmes numériques en français. Ils font beaucoup parler d’eux en ce moment, et permettent de connecter beaucoup de choses. Personne ne sera aujourd’hui étonné de voir un réfrigérateur connecté. La réelle valeur ajoutée n’est pas encore évidente. Cependant, les utilités de l’IOT se développent, notamment dans l’industrie où les gains sont réels. La récolte de données est encore souvent faite à l’aide de papier et de crayons. Cela entraîne une fiabilité moyenne, ainsi que des tâches chronophages. C’est la pente de l’illumination.

      Gardez-le bien en tête, si vous souhaitez qu’une innovation perce, soutenez-la comme vous le pouvez. Si vous vous placez en client, achetez-en. Si vous vous positionnez en intéressé, parlez-en. Et si vous le pouvez, investissez !

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    • Un concours pour gagner en performance industrielle

      Un concours pour gagner en performance industrielle

      [et_pb_section fb_built=”1″ admin_label=”section” _builder_version=”4.16″ custom_padding=”0px||0px|||” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_row admin_label=”row” _builder_version=”4.16″ background_size=”initial” background_position=”top_left” background_repeat=”repeat” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.16″ custom_padding=”|||” global_colors_info=”{}” custom_padding__hover=”|||” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_text admin_label=”Text” _builder_version=”4.27.4″ background_size=”initial” background_position=”top_left” background_repeat=”repeat” custom_margin=”50px||||false|false” hover_enabled=”0″ global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content” sticky_enabled=”0″]

      Le jeu-concours : Gagnez en productivité !

      À l’occasion de notre 5e année sur le marché, nous vous proposons de gagner 40 000€ de lots. Il y aura 3 vainqueurs, il y a donc trois lots. Faites confiance au leader de la performance industrielle !

      Pour tous les gagnants, les licences permettant l’utilisation de nos systèmes seront offertes pour une durée d’un an. Ces licences vous offrent l’accès à notre logiciel sur les tablettes, mais également l’accès à notre plateforme web. Vous pourrez grâce à lui accéder à toutes les données générées par les tablettes. C’est aussi l’endroit où vous retrouverez la partie supervision, pour toujours avoir un œil sur vos équipements, leur cadence et leurs arrêts. Le support en cas de besoin est également couvert par ces licences, ainsi que l’accès aux Académies TEEPTRAK.

      Pour sublimer le tout, vous gagnerez également 1 journée d’accompagnement, pour vous aider à mettre en place les systèmes. Nous serons à vos côtés pour votre premier pas vers l’augmentation de votre productivité !

       

      Le détail des trois lots : 

      La première place apportera à l’usine gagnante 10 systèmes PerfTrak. Vous pourrez de cette manière suivre la performance de 10 équipements de votre choix. Ce lot se compose de 10 tablettes tactiles durcies. Elles sont le fruit d’un développement interne, et d’une fabrication française. Parfaitement adaptées à l’environnement industriel, nos tablettes tactiles résistent à des conditions difficiles, que ce soit sur le plan de la température, de l’humidité ou encore des chocs. Pour les accompagner, vous trouverez 10 modules Bluetooth. C’est grâce à eux que vos machines de production seront connectées à leur tablette. Les branchements sont très simples et accessibles à tous. 

      La deuxième place vous offre la possibilité de gagner 5 systèmes complets, donc 5 tablettes accompagnées de 5 modules Bluetooth pour suivre 5 machines. Les licences seront aussi valables 1 an, avec tous les avantages qui vont avec. 

      Enfin, la troisième place offrira 3 systèmes complets, pour le suivi de la performance 3 machines.

      Ce serait une erreur de penser que vous gagnez seulement des tablettes grâce à ce jeu-concours… Le vrai cadeau, c’est la possibilité de gagner en productivité, de faire exploser votre TRS ! Les tablettes ne sont que le moyen de parvenir à la meilleure performance industrielle. Suite à la mise en place de nos systèmes, le ROI moyen de nos clients est d’environ 3 mois. C’est la preuve de l’efficacité de notre solution.

       

      Laissez-vous tenter, et inscrivez-vous pour gagner nos systèmes en remplissant vos coordonnées ICI ! 

       

       

      Qui sommes-nous ?

       

      Fondée en 2014 à Paris, TEEPTRAK s’est donné l’objectif de répondre à la demande des industries dans la mesure de la performance industrielle. Après avoir développé notre produit phare, PerfTrak, la phase de vente a commencé en 2016. Aujourd’hui, 5 ans après, nous nous positionnons en leader sur le marché de la performance. Nos deux bureaux en Chine et en France nous permettent de travailler dans tous les types d’industrie comme l’agroalimentaire, l’électronique, l’automobile, le caoutchouc ou encore l’aéronautique.

       

       

      Certains pourraient penser qu’il est difficile d’être expert dans tous ces corps de métier, et ils auraient raison. Nous sommes spécialisés dans la performance industrielle. Une machine qui produit du fromage, ou une autre qui usine des pièces en acier seront évidemment abordées différemment, mais le principe reste le même. Capter et mesurer les arrêts pour y associer une cause, voici notre but. Grâce à cela, il devient facile de comprendre d’où viennent les pertes de performance.

       

       

      Aujourd’hui quand une machine s’arrête, dans 90% des cas c’est contextuel. C’est-à-dire que la cause d’arrêt provient des éléments qui gravitent autour de vos équipements. Que ce soit le manque d’approvisionnement, les changements de production ou les maintenances; nous vous offrons la possibilité de le mesurer. L’implication de l’opérateur est indispensable à la compréhension de ces facteurs d’arrêts. Et c’est ensemble que vos équipes de production pourront augmenter rapidement votre TRS et donc, votre capacité de production.

       

       

       

      Aujourd’hui, pour relever facilement ces explications, nous utilisons des tablettes tactiles. Après avoir installé un module Bluetooth sur votre équipement, les informations transiteront via ce réseau sans fil. De cette manière, il est facile et intuitif d’éclaircir les ralentissements et arrêts de production. Toutes les connexions sont cryptées et sécurisées.

       

       

      Nos solutions, l’idéal de la performance industrielle

      Trois solutions de suivis de la performance sont disponibles. On peut ajouter à cela la dernière innovation de TEEPTRAK, qui permet de suivre et d’historiser les indicateurs process. Grâce à leur simplicité de connexion, et au talent de nos développeurs, nos solutions sont compatibles avec 99% des machines de vos ateliers. Généralement installées en moins d’une heure, nos solutions vous permettront de suivre les cadences tel un chef d’orchestre.

       

      Notre premier produit, PerfTrak permet de suivre le TRS de vos équipements. Pour en savoir plus sur le TRS, c’est ICI. Grâce à PerfTrak, vous pourrez suivre la production de vos équipements, leur rendement, et même certains sujets simples de qualité.

       

       

      Nous couvrons également d’autres dimensions, notamment avec PaceTrak qui permet de suivre le temps des taches manuelles, notamment dans les travaux d’assemblage.

       

       

      QualTrak, un autre de nos produits permet d’aider à documenter ou digitaliser les résultats des contrôles qualité. De cette manière, fini les feuilles volantes pour rapporter les causes de rebuts durant la journée. Avec cet outil, vous connaîtrez la quantité précise de pièces rebutée, et la cause de chacun de ces défauts. Idéal pour pouvoir traiter les sujets les plus sensibles !

       

       

      ProcessTrak, la meilleure solution de suivi de vos indicateurs process. Grâce à des connexions permanentes aux capteurs et sondes en place, vous pourrez suivre les valeurs rapportées en temps réel. Vous aurez aussi l’historique de ces valeurs depuis la mise en place du système. Un moyen idéal pour suivre le bon déroulement de la production, de jour comme de nuit.

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    • L’industrie Française et Européenne, entre crise et pénurie ?

      L’industrie Française et Européenne, entre crise et pénurie ?

      [et_pb_section fb_built=”1″ _builder_version=”4.16″ global_colors_info=”{}”][et_pb_row _builder_version=”4.16″ background_size=”initial” background_position=”top_left” background_repeat=”repeat” global_colors_info=”{}”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.16″ custom_padding=”|||” global_colors_info=”{}” custom_padding__hover=”|||”][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||2px|||”]

      L’industrie Française et Européenne, entre crise et pénurie ?

      [/et_pb_text][et_pb_image src=”https://teeptrak.com/wp-content/uploads/2024/12/trait-horizontal.png” _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” title_text=”horizontal-split” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″][/et_pb_image][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||50px||false|false” text_text_color=”#000000″ text_font=”|300|||||||” text_font_size=”16px”]

      La pandémie de la COVID-19 a bouleversé l’économie mondiale. Dans les livres d’histoire, nous pourrons un jour lire des cours à propos de la mise à l’arrêt totale de la production mondiale. C’est au même moment qu’ont explosés les besoins en masques, en matériels médicaux, et en produits numériques. Tout cela a provoqué une pénurie planétaire. C’était en mai 2020, et c’est encore dans les esprits de tout le monde. Un an plus tard, où en sommes-nous ?

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      L’explosion de la demande provoquée par des besoins similaires

      En France, en Europe et dans le monde, nous suivons tous les mêmes directives. C’est l’ère du tout numérique. Mais c’est aussi le moment de la réelle reprise de production. La crise sanitaire a arrêté ou ralenti de nombreuses industries. Cela a généré deux problèmes. Il faut maintenant relancer la fabrication, et cela peut parfois être compliqué. Mais surtout, elle doit être plus forte et plus rapide ! En effet, le manque à gagner et la demande qui rattrape le temps perdu sont deux facteurs entraînant de forts besoins.

      Aujourd’hui, tous les pays ont les mêmes. Des besoins logistiques pour importer et exporter, des besoins en matières premières pour alimenter l’industrie lourde, ou encore des besoins en pièces détachées pour assembler les produits de consommation comme les véhicules ou les produits électroniques.

      La demande dépasse l’offre, cela entraîne une montée des prix, mais l’argent n’est pas la seule donnée. La politique des Etats entre aussi en jeu.

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||50px||false|false” text_text_color=”#000000″ text_font=”|300|||||||” text_font_size=”16px”]

      La pénurie de composants dans des secteurs prêts à produire

      Alors que l’été dernier, soit seulement quelques semaines après la première vague d’épidémie, la plupart des industries avaient repris leur production, de nombreux site de production se retrouvent à l’arrêt en ce moment même. Le personnel pourrait être présent, ce n’est pas la question. Les machines peuvent fonctionner, elles en sont capables. Mais quels composant assembler ? L’Europe souffre d’une pénurie de composants électroniques. Des semi-conducteurs fabriqués en majeure partie à Taiwan. Des semi-conducteurs, mais pourquoi faire ?

      Ces puces électroniques sont partout, dans nos voitures, smartphones, imprimantes, ordinateurs et plus encore. Les confinements ont fait exploser la demande matériel informatique courant 2020. C’est par exemple l’année de tous les records pour les ventes d’ordinateurs, avec une augmentation de 10% par rapport à 2019. Le télétravail généralisé mondialement en est la source.

      Cette pénurie de carte électronique provoque l’arrêt momentané de plusieurs lignes automobile, notamment chez Renault avec des semaines de fermeture à Flins, idem pour PSA dans ses usines de Sochaux et de Rennes. C’est une des limites du « Juste à temps ». Toyota à d’ailleurs mis en pause ses usines d’Amérique du nord le mois dernier.

      Le secteur automobile n’est pas le seul impacté. Sony a annoncé ne pas pouvoir atteindre ses objectifs de vente de Playstation 5 en 2021 avec pour seule raison : la pénurie de ces puces. On parle du produit phare de la marque.

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||50px||false|false” text_text_color=”#000000″ text_font=”|300|||||||” text_font_size=”16px”]

      Une pénurie de matières premières ?

      Les matières premières subissent le même sort, avec des besoins grandissants et une offre revue à la baisse. C‘est le cas notamment de l’acier, du cuivre ou encore de l’aluminium. Ici encore la demande augmente mondialement, alors que les mines se sont arrêtées durant l’année dernière. C’est aujourd’hui une augmentation des prix qui en est la seule issue. Pour preuve, le géant français Nexans a publié en début d’année un comparatif des prix entre Juillet 2020 et février 2021. Le prix de la tonne d’acier a augmenté sur cette période de 106%, l’étain de 53% et le cuivre de 50%. Le PVC a quant à lui subit une inflation de 115%.

      La plasturgie n’est pas épargnée. Un concours de circonstances atteint également cette filière, avec des ruptures de Polypropylène. Ce plastique très répandu est notamment celui des cônes de pipettes nécessaire aux tests PCR. Quelles en sont les raisons et pourquoi cette pénurie ? Les usines arrêtées en mai dernier, mais pas seulement. La vague de froid qui a frappé le Texas en février a provoqué la fermeture de plusieurs sites pétrochimiques qui s’y trouvaient. La faute aux coupures de courant. Les tempêtes particulièrement violentes de la côte du Golf du Mexique de 2020 n’y sont pas pour rien non plus.  S’en sont suivies des hausses records du prix de tous les composants plastiques issues de ces usines : Polypropylène, Polyéthylène, PVC, etc…

      Une fois encore, l’automobile est touchée, mais aussi les fabricants de peintures, ou encore le bâtiment. Et si tout cela ne suffisait pas, en plus de manquer de matières, nous manquons cruellement de solutions de transport intercontinentaux.

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||50px||false|false” text_text_color=”#000000″ text_font=”|300|||||||” text_font_size=”16px”]

      La logistique internationale surchargée

      La baisse de la production mondiale de l’année dernière a poussé les transporteurs à diminuer leur offre. Ils ont ainsi réduit leur capacité de transport d’environ 30%. Ils n’étaient pas préparés à subir une hausse de la demande. En effet, les consommateurs ont plus dépensé d’argent dans les biens sur les 12 derniers mois que jamais. Cela est dû à la fermeture des restaurants, bar, et à l’impossibilité de voyager.

      C’est un secret pour personne, le premier continent exportateur de bien de consommation est l’Asie. Quand la demande a explosé, la diminution du parc de containers était malvenue. De plus, beaucoup de capacité de transport a été absorbé par l’axe transpacifique, représenté par les Amériques en général. Aujourd’hui, le trafic n’est toujours pas revenu à la normal, le prix du container de 20 pieds est passé de 1000$ en juillet 2020 à plus de 4000$ aujourd’hui.

      Les conséquences sont lourdes, avec des ruptures d’approvisionnement chez certains clients français et européens. On parle ici d’usines se fournissant sur le marché asiatique, comme c’est le cas pour le marché du vélo électrique. La faute au surbooking des containers générant des annulations, aux délais de réservations allongés, sans parler du retard général que nous a offert « l’Evergreen », en bloquant plusieurs jours le canal de Suez.

      Les transporteurs aériens et ferroviaires s’en frottent les mains, mais ceux du secteur maritime également. En effet, cette pénurie de containers a augmenté les prix, et donc leurs marges. Pas de chiffre annoncé ici, mais Jérôme Powell, le président de la Fed (Banque Centrale Américaine) se veut rassurant : « Nous pensons que la chaîne d’approvisionnement va s’adapter, et devenir plus efficace, cela pourrait prendre un an, mais ça va arriver ».

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||50px||false|false” text_text_color=”#000000″ text_font=”|300|||||||” text_font_size=”16px”]

      Mais comment lutter contre ces pénuries ?

      Difficile de trouver une solution clé en main, mais beaucoup de personnes y travaillent. Pour les minerais, nous possédons quelques mines en Europe, dominé par la Suède et la Finlande, mais elles ne représentent qu’une très faible part de la production mondiale. En effet, en 2017, l’UE ne produisait que 9% de sa consommation en minerais. Cela ne suffira pas. C’est dans ce contexte où il faut croiser les doigts pour ne pas rentrer en conflit diplomatique avec les pays producteurs. Cela pourrait être fatal à beaucoup de structures françaises. Les cartes sont dans les mains du gouvernement.

      En parallèle, un autre axe de travail est la recherche de technologies plus sobres en matières, avec des procédés plus propres. En attendant ces nouvelles technologies, le plus gros bénéfice en matière disponible reste le recyclage. En effet, grâce à la réutilisation des matériaux, nous pourrons avancer vers la diminution des importations. Cela ne va pas nous procurer une autonomie, mais peut nous aider à avancer… Si le recyclage a lieu dans le pays.

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||50px||false|false” text_text_color=”#000000″ text_font=”|300|||||||” text_font_size=”16px”]

      La pandémie de la COVID-19 a bouleversé l’économie mondiale. Dans les livres d’histoire, nous pourrons un jour lire des cours à propos de la mise à l’arrêt totale de la production mondiale. C’est au même moment qu’ont explosés les besoins en masques, en matériels médicaux, et en produits numériques. Tout cela a provoqué une pénurie planétaire. C’était en mai 2020, et c’est encore dans les esprits de tout le monde. Un an plus tard, où en sommes-nous ?

      [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]

    • Les bonnes résolutions de l’industriel pour 2021

      Les bonnes résolutions de l’industriel pour 2021

      [et_pb_section fb_built=”1″ _builder_version=”4.16″ global_colors_info=”{}”][et_pb_row _builder_version=”4.16″ background_size=”initial” background_position=”top_left” background_repeat=”repeat” global_colors_info=”{}”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.16″ custom_padding=”|||” global_colors_info=”{}” custom_padding__hover=”|||”][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||-1px|||”]

      Les bonnes résolutions de l’industriel pour 2021

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      Alors que les employés ont redonné vie aux ateliers après les congés, il est temps de prendre de bonnes résolutions collectives. Le « collectif » implique l’intégralité des collaborateurs d’une usine. Les bonnes résolutions seront des « best-practices ». Elles dépendent du secteur d’activité, mais sont applicables à toutes les entreprises

      [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ text_font=”|300|||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px”]

      Les bonnes résolutions adaptées à votre entreprise

      Selon le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA) et ses chiffres publiés le 1er janvier 2021, le marché de l’automobile a reculé de 25,5% en 2020. Chez les équipementiers et autres fournisseurs de ces géants de l’automobile, l’objectif principal va être d’économiser sur les dépenses. Il existe des dizaines de méthodes pour économiser, les meilleurs font parties du Lean Management. Les plus efficaces demandent de la créativité et de l’innovation.

      L’utilisation de Poka-Yoké (détrompeurs) en assemblage par exemple peut se révéler très précieux. Mais qu’est-ce que c’est ? Les Poka-Yokés sont un moyen d’empêcher les erreurs. Ils peuvent être d’alerte ou de fonctionnement. Par exemple, une butée sur une perceuse à colonne est un Poka-Yoké de fonctionnement car il empêche de percer trop profond et rend impossible l’erreur humaine.

      Les détrompeurs sur les postes de travail limitent les contrôles et favorisent les pièces bonnes du premier coup. Il vise à protéger des défauts récurrents ou ponctuels, issus du travail d’un être humain en amenant le taux d’erreur à 0%. C’est aussi un moyen d’éviter les risques d’accidents. L’installation de Poka-Yokés au sein de votre atelier ne se fera pas sans un message fort au préalable. Il faut montrer que c’est une solution et pas une contrainte pour motiver tous les collaborateurs. Il ne faut pas oublier que bien souvent les acteurs du terrain savent comment améliorer les choses sans s’en rendre compte. Il faut juste rester à l’écoute.

      Rester à l’écoute, voici une résolution pleine de bon sens. Peut-être une évidence pour certains, mais étant donné les contraintes apportées par la crise sanitaire, il peut être difficile de préserver le dialogue. En effet, certains employés sont en télétravail depuis des mois. On a misé sur leur autonomie et c’est le plus souvent une réussite, du moment que l’on reste à l’écoute ! Pour ceux qui sont dans l’atelier, les bonnes idées viennent du terrain et un employé écouté est reconnaissant, en plus de partager son savoir. Voilà trois bonnes raisons de rester à l’écoute de vos collaborateurs.

      Au-delà de l’écoute, le bien être du salarié passe aussi par la bonne ambiance. En ce moment, il peut être difficile pour les salariés avec le ralentissement des lignes par exemple de garder le sourire. Le temps disponible peut être mis à profit en organisant des séminaires ou des moments de partages. Essayez de voir le verre à moitié plein avec vos collaborateurs vous permettra de tirer profit des situations difficiles. Attention, il n’est pas possible de forcer tout le monde à avoir le sourire.

      Nous avons parlé de l’automobile, mais la situation ne touche pas tout le monde. Dans le secteur pharmaceutique et dans les industries paramédicales, à l’inverse, la demande est plus forte que l’offre. Les lignes tournent à plein régime, et les vacances de fin d’année étaient courtes. Une question se pose cependant : les machines fonctionnent elles vraiment à plein régime ? Une bonne résolution serait de s’intéresser à la productivité de vos équipements.

      Le meilleur moyen de savoir mesurer les performances est le TRS (Lire notre article sur le TRS). Le Taux de Rendement Synthétique permet de se rendre compte de toutes les dimensions de la performance d’une machine. La disponibilité, la fiabilité ou encore la qualité produite n’auront plus de secret pour vous. Une fois de plus, pour le déploiement d’un outil de la sorte, il est indispensable de s’appuyer sur vos hommes de terrain. Que ce soit pour trouver votre poste goulot ou le moins fiable, vous pouvez compter sur vos collaborateurs. Ils en seront les principaux utilisateurs. Une première expérience réussie vous permettra de mener une politique du changement plus simple pour équiper votre parc machine.

      En plus d’être performant, il est aujourd’hui indispensable de s’informer pour s’adapter. La demande évolue très rapidement, aussi vite que notre monde. Bien sûr, modifier des lignes de fabrication ou reformer le personnel demande du temps et de l’investissement, mais si vous répondez à une demande, cela peut vous permettre de sortir votre épingle du jeu. Si vous évoluez dans le bon sens, les résultats suivront. On parle ici de produit, mais l’adaptation est importante dans tous les domaines sans distinction, de la méthode de fabrication aux techniques de management.

      Après avoir ajouté des Poka-Yokés sur vos lignes sensibles, ou même dans vos bureaux ; lorsque vous aurez écouté vos équipes et pris en compte leurs avis, le tout en misant sur la performance de vos équipements et en vous adaptant à la conjoncture et aux évolutions du monde d’aujourd’hui ; toutes les raisons seront réunies pour vous faire passer une excellente année 2021.     

      Toute l’équipe de TEEPTRAK vous souhaite ses meilleurs vœux pour l’année 2021, qu’elle soit prospère et riche en réussite.

      [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]

    • Pénuries industrielles : comprendre les défis et enjeux de la reprise post-COVID

      Pénuries industrielles : comprendre les défis et enjeux de la reprise post-COVID

      [et_pb_section fb_built=”1″ _builder_version=”4.27.2″ _module_preset=”default” min_height=”28.2px” custom_margin=”||-150px|||” custom_padding=”0px|||||” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][/et_pb_section][et_pb_section fb_built=”1″ _builder_version=”4.27.2″ _module_preset=”default” custom_padding=”62px||0px|||” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_row _builder_version=”4.27.2″ _module_preset=”default” min_height=”3393.6px” custom_padding=”12px|||||” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.27.2″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_text _builder_version=”4.27.2″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”]

       

      La pandémie de la COVID-19 a bouleversé l’économie mondiale. Dans les livres d’histoire, nous pourrons un jour lire des cours à propos de la mise à l’arrêt totale de la production mondiale. C’est au même moment qu’ont explosés les besoins en masques, en matériels médicaux, et en produits numériques. Tout cela a provoqué une pénurie planétaire. C’était en mai 2020, et c’est encore dans les esprits de tout le monde. Un an plus tard, où en sommes-nous ?

       

      L’explosion de la demande provoquée par des besoins similaires

       

      En France, en Europe et dans le monde, nous suivons tous les mêmes directives. C’est l’ère du tout numérique. Mais c’est aussi le moment de la réelle reprise de production. La crise sanitaire a arrêté ou ralenti de nombreuses industries. Cela a généré deux problèmes. Il faut maintenant relancer la fabrication, et cela peut parfois être compliqué. Mais surtout, elle doit être plus forte et plus rapide ! En effet, le manque à gagner et la demande qui rattrape le temps perdu sont deux facteurs entraînant de forts besoins.

      Aujourd’hui, tous les pays ont les mêmes. Des besoins logistiques pour importer et exporter, des besoins en matières premières pour alimenter l’industrie lourde, ou encore des besoins en pièces détachées pour assembler les produits de consommation comme les véhicules ou les produits électroniques.

      La demande dépasse l’offre, cela entraîne une montée des prix, mais l’argent n’est pas la seule donnée. La politique des Etats entre aussi en jeu.

       

      La pénurie de composants dans des secteurs prêts à produire

       

      Alors que l’été dernier, soit seulement quelques semaines après la première vague d’épidémie, la plupart des industries avaient repris leur production, de nombreux site de production se retrouvent à l’arrêt en ce moment même. Le personnel pourrait être présent, ce n’est pas la question. Les machines peuvent fonctionner, elles en sont capables. Mais quels composant assembler ? L’Europe souffre d’une pénurie de composants électroniques. Des semi-conducteurs fabriqués en majeure partie à Taiwan. Des semi-conducteurs, mais pourquoi faire ?

      Ces puces électroniques sont partout, dans nos voitures, smartphones, imprimantes, ordinateurs et plus encore. Les confinements ont fait exploser la demande matériel informatique courant 2020. C’est par exemple l’année de tous les records pour les ventes d’ordinateurs, avec une augmentation de 10% par rapport à 2019. Le télétravail généralisé mondialement en est la source.

      Cette pénurie de carte électronique provoque l’arrêt momentané de plusieurs lignes automobile, notamment chez Renault avec des semaines de fermeture à Flins, idem pour PSA dans ses usines de Sochaux et de Rennes. C’est une des limites du « Juste à temps ». Toyota à d’ailleurs mis en pause ses usines d’Amérique du nord le mois dernier.

      Le secteur automobile n’est pas le seul impacté. Sony a annoncé ne pas pouvoir atteindre ses objectifs de vente de Playstation 5 en 2021 avec pour seule raison : la pénurie de ces puces. On parle du produit phare de la marque.

       

      Une pénurie de matières premières ?

       

      Les matières premières subissent le même sort, avec des besoins grandissants et une offre revue à la baisse. C‘est le cas notamment de l’acier, du cuivre ou encore de l’aluminium. Ici encore la demande augmente mondialement, alors que les mines se sont arrêtées durant l’année dernière. C’est aujourd’hui une augmentation des prix qui en est la seule issue. Pour preuve, le géant français Nexans a publié en début d’année un comparatif des prix entre Juillet 2020 et février 2021. Le prix de la tonne d’acier a augmenté sur cette période de 106%, l’étain de 53% et le cuivre de 50%. Le PVC a quant à lui subit une inflation de 115%.

      La plasturgie n’est pas épargnée. Un concours de circonstances atteint également cette filière, avec des ruptures de Polypropylène. Ce plastique très répandu est notamment celui des cônes de pipettes nécessaire aux tests PCR. Quelles en sont les raisons et pourquoi cette pénurie ? Les usines arrêtées en mai dernier, mais pas seulement. La vague de froid qui a frappé le Texas en février a provoqué la fermeture de plusieurs sites pétrochimiques qui s’y trouvaient. La faute aux coupures de courant. Les tempêtes particulièrement violentes de la côte du Golf du Mexique de 2020 n’y sont pas pour rien non plus.  S’en sont suivies des hausses records du prix de tous les composants plastiques issues de ces usines : Polypropylène, Polyéthylène, PVC, etc…

      Une fois encore, l’automobile est touchée, mais aussi les fabricants de peintures, ou encore le bâtiment. Et si tout cela ne suffisait pas, en plus de manquer de matières, nous manquons cruellement de solutions de transport intercontinentaux.

       

      La logistique internationale surchargée

       

      La baisse de la production mondiale de l’année dernière a poussé les transporteurs à diminuer leur offre. Ils ont ainsi réduit leur capacité de transport d’environ 30%. Ils n’étaient pas préparés à subir une hausse de la demande. En effet, les consommateurs ont plus dépensé d’argent dans les biens sur les 12 derniers mois que jamais. Cela est dû à la fermeture des restaurants, bar, et à l’impossibilité de voyager.

      C’est un secret pour personne, le premier continent exportateur de bien de consommation est l’Asie. Quand la demande a explosé, la diminution du parc de containers était malvenue. De plus, beaucoup de capacité de transport a été absorbé par l’axe transpacifique, représenté par les Amériques en général. Aujourd’hui, le trafic n’est toujours pas revenu à la normal, le prix du container de 20 pieds est passé de 1000$ en juillet 2020 à plus de 4000$ aujourd’hui.

      Les conséquences sont lourdes, avec des ruptures d’approvisionnement chez certains clients français et européens. On parle ici d’usines se fournissant sur le marché asiatique, comme c’est le cas pour le marché du vélo électrique. La faute au surbooking des containers générant des annulations, aux délais de réservations allongés, sans parler du retard général que nous a offert « l’Evergreen », en bloquant plusieurs jours le canal de Suez.

      Les transporteurs aériens et ferroviaires s’en frottent les mains, mais ceux du secteur maritime également. En effet, cette pénurie de containers a augmenté les prix, et donc leurs marges. Pas de chiffre annoncé ici, mais Jérôme Powell, le président de la Fed (Banque Centrale Américaine) se veut rassurant : « Nous pensons que la chaîne d’approvisionnement va s’adapter, et devenir plus efficace, cela pourrait prendre un an, mais ça va arriver ».

       

      Mais comment lutter contre ces pénuries ?

       

      Difficile de trouver une solution clé en main, mais beaucoup de personnes y travaillent. Pour les minerais, nous possédons quelques mines en Europe, dominé par la Suède et la Finlande, mais elles ne représentent qu’une très faible part de la production mondiale. En effet, en 2017, l’UE ne produisait que 9% de sa consommation en minerais. Cela ne suffira pas. C’est dans ce contexte où il faut croiser les doigts pour ne pas rentrer en conflit diplomatique avec les pays producteurs. Cela pourrait être fatal à beaucoup de structures françaises. Les cartes sont dans les mains du gouvernement.

      En parallèle, un autre axe de travail est la recherche de technologies plus sobres en matières, avec des procédés plus propres. En attendant ces nouvelles technologies, le plus gros bénéfice en matière disponible reste le recyclage. En effet, grâce à la réutilisation des matériaux, nous pourrons avancer vers la diminution des importations. Cela ne va pas nous procurer une autonomie, mais peut nous aider à avancer… Si le recyclage a lieu dans le pays.

       

      [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]