Category: Lean Manufacturing

Le Lean Manufacturing permet d’optimiser la production en réduisant les gaspillages et en améliorant l’efficacité. Découvrez des articles sur les méthodes Lean, les outils comme le Kaizen et le 5S, ainsi que les meilleures pratiques pour une gestion industrielle plus performante et agile.

  • Lean Management : définition, outils, avantages

    Lean Management : définition, outils, avantages

    [et_pb_section fb_built=”1″ _builder_version=”4.16″ custom_padding=”||0px|||” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_row _builder_version=”4.16″ background_size=”initial” background_position=”top_left” background_repeat=”repeat” custom_padding=”8px|||||” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.16″ custom_padding=”|||” global_colors_info=”{}” custom_padding__hover=”|||” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_text _builder_version=”4.27.4″ background_size=”initial” background_position=”top_left” background_repeat=”repeat” width=”100%” custom_padding=”|||1px||” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”]

    Le Lean Management est une méthode d’optimisation des processus qui vise à améliorer la performance des entreprises en éliminant les gaspillages et en maximisant la valeur pour le client. Développé dans l’industrie automobile, il s’est étendu à de nombreux secteurs grâce à son approche pragmatique et efficace.

    Dans un contexte où la qualité, la gestion des ressources et la productivité sont cruciales, adopter le Lean Management permet d’améliorer l’organisation du travail, d’optimiser les flux de production et d’augmenter la rentabilité. Cet article explorera la définition du Lean, ses origines, ses différences avec le Lean Six Sigma, ainsi que ses bénéfices pour les entreprises.

     

    Qu’est-ce que le Lean Management ?

    Le Lean Management repose sur une approche systématique visant à améliorer les processus en réduisant les tâches inutiles. En se concentrant sur la valeur ajoutée, il permet d’optimiser les services et les produits tout en renforçant la performance des équipes.

    Cette démarche, issue de l’industrie automobile, est aujourd’hui utilisée dans divers secteurs comme la santé, la logistique et les services. Son objectif est d’assurer une meilleure gestion des ressources et une réduction des coûts sans compromettre la qualité.

    Définition et objectifs du Lean Management

    Le Lean Management est une méthode d’amélioration continue qui repose sur l’optimisation des processus pour accroître la performance et éliminer les gaspillages. Son principe fondamental est de maximiser la valeur tout en réduisant les opérations inutiles.

    Ses objectifs incluent l’amélioration des flux de travail, l’élimination des problèmes récurrents et la mise en place d’une organisation efficace. Par exemple, une entreprise de production peut l’utiliser pour réduire les temps d’attente et améliorer la qualité des produits en ajustant ses étapes de fabrication.

    Les origines et l’évolution du Lean Management

    Le Lean Management puise ses origines dans le Toyota Production System (TPS), développé au Japon dans les années 1950. Initialement conçu pour l’industrie automobile, il visait à éliminer les gaspillages et à garantir un flux de production fluide grâce à des principes comme le Juste-à-temps. Au fil du temps, cette approche s’est étendue à d’autres secteurs, tels que la supply chain, le secteur public ou les services. Aujourd’hui, le Lean Management est utilisé dans divers contextes, allant de la gestion de projet à l’optimisation des processus administratifs, avec un objectif central : améliorer l’efficacité en réduisant les inefficacités.

    Différences entre Lean Management et Lean Six Sigma

    Le Lean Management et le Lean Six Sigma sont souvent associés, mais ils diffèrent dans leur approche. Le Lean Management se focalise sur l’optimisation des processus et l’élimination des gaspillages grâce à des outils comme 5S, Kaizen et Kanban. De son côté, le Lean Six Sigma vise à réduire la variabilité et à améliorer la qualité en s’appuyant sur des analyses statistiques et la méthodologie DMAIC. Tandis que le Lean s’applique à tous les secteurs, le Lean Six Sigma est particulièrement utilisé pour les processus complexes nécessitant une forte précision.

     

    Pourquoi adopter le Lean Management en entreprise ?

    Le Lean Management est une démarche essentielle pour améliorer la performance d’une entreprise. En repensant les processus, il permet d’optimiser la gestion des ressources et d’améliorer la satisfaction des clients.

    Amélioration de la performance et réduction des gaspillages

    Le Lean Management agit sur la réduction des coûts en éliminant les tâches inutiles et en optimisant les flux de production. En mettant en place des outils comme le 5S ou le Kanban, les entreprises rationalisent leur travail et réduisent le temps perdu.

    Une infographie illustrant la différence avant/après la mise en place du Lean montre que les délais de production diminuent, la qualité s’améliore et la gestion des projets devient plus efficace.

    Augmentation de la rentabilité et satisfaction des clients

    Grâce à l’optimisation des processus, le Lean Management permet de réduire les coûts de production et d’améliorer la rentabilité. Une meilleure gestion des ressources se traduit par une réduction des délais et une amélioration de la qualité des produits.

    Par exemple, une entreprise ayant intégré le Lean a réduit ses défauts de fabrication de 30 %, améliorant ainsi l’expérience client. En réduisant les temps d’attente et en optimisant les services, elle fidélise sa clientèle tout en réduisant ses dépenses.

    Impact sur la productivité et la culture d’entreprise

    Le Lean Management transforme également la culture d’entreprise en impliquant les équipes dans une démarche d’amélioration continue. Il favorise une gestion proactive des problèmes et une meilleure organisation du travail.

    Des entreprises ayant adopté cette méthode témoignent d’une hausse de 20 % de la productivité, grâce à une meilleure répartition des tâches et à une réduction des erreurs. Le Lean encourage l’autonomie des employés et renforce la collaboration au sein des équipes.

     

    Les 5 principes fondamentaux du Lean Management

    Le Lean Management repose sur cinq principes essentiels qui permettent d’optimiser la performance et d’éliminer les gaspillages.

    🔵 Identifier la valeur pour le client
    L’objectif du Lean est de maximiser la valeur pour le client en supprimant les tâches inutiles. Il est essentiel de comprendre ce qui est réellement attendu pour aligner les produits et services avec ses besoins.

    🔵 Cartographier la chaîne de valeur
    Le Value Stream Mapping (VSM) est une méthode permettant d’identifier les étapes créant de la valeur et celles générant du gaspillage. Par exemple, une analyse des processus de production permet de réduire les temps d’attente et d’améliorer la gestion des flux.

    🔵 Créer un flux de travail continu
    Un flux efficace garantit que chaque tâche s’enchaîne sans interruption. En éliminant les bottlenecks et en fluidifiant la production, une entreprise peut améliorer sa performance tout en réduisant les stocks inutiles.

    🔵 Mettre en place un système en flux tiré
    Le flux tiré consiste à produire uniquement en fonction de la demande réelle du client. Cette approche optimise l’organisation du travail et évite les surproductions coûteuses.

    🔵 Rechercher une amélioration continue (Kaizen)
    Le Kaizen, ou amélioration continue, encourage les équipes à identifier et résoudre les problèmes en permanence. Cette démarche repose sur des actions concrètes et progressives pour améliorer la qualité et la productivité.

     

    Les outils clés du Lean Management

    Le Lean Management s’appuie sur plusieurs outils pour optimiser la gestion des processus et améliorer la performance industrielle.

    Le Juste-à-temps (JAT) et le Kanban

    Le Juste-à-temps (JAT) vise à produire uniquement ce qui est nécessaire, quand c’est nécessaire, afin de limiter les stocks et d’optimiser les flux. Le Kanban, un système visuel de gestion des tâches, permet de suivre l’avancement des étapes de production en temps réel.

    La méthode 5S pour un environnement de travail efficace

    La méthode 5S repose sur cinq principes : Trier, Ranger, Nettoyer, Standardiser et Maintenir. Elle améliore l’organisation du travail et réduit les pertes de temps. Un exemple concret est la réorganisation d’un atelier de production pour éviter les déplacements inutiles.

    La Value Stream Mapping (VSM) pour visualiser les flux

    La VSM cartographie les processus d’une entreprise afin d’identifier les gaspillages et d’optimiser les flux de production. Une entreprise industrielle peut l’utiliser pour réduire les temps d’attente et améliorer la qualité des produits livrés.

    L’approche Kaizen pour une amélioration continue

    Le Kaizen repose sur des petites améliorations constantes réalisées par les équipes elles-mêmes. Un exemple courant est la révision régulière des processus de travail pour identifier et corriger les inefficacités.

    Le diagramme de Pareto et l’analyse des causes racines

    Le diagramme de Pareto met en évidence les problèmes majeurs affectant la performance d’une entreprise. Associé à l’analyse des causes racines (5 Pourquoi), il aide à identifier et éliminer les facteurs critiques influençant la qualité et la productivité.

     

    Les 8 types de gaspillages à éliminer avec le Lean

    Le Lean Management identifie sept sources principales de gaspillage à éliminer pour améliorer l’efficacité.

    ➡️ Surproduction : Produire plus que la demande entraîne des coûts inutiles.
    ➡️ Temps d’attente : Les délais entre les étapes de production ralentissent l’organisation.
    ➡️ Transports inutiles : Déplacer les produits ou matériaux sans valeur ajoutée gaspille du temps.
    ➡️ Stocks excessifs : Un stock trop important immobilise du capital et réduit la flexibilité.
    ➡️ Mouvements inutiles : Les déplacements des opérateurs ralentissent le flux de travail.
    ➡️ Défauts et reprises : Les erreurs nécessitent des corrections et réduisent la qualité.
    ➡️ Sur-qualité : Ajouter des étapes ou des fonctionnalités non nécessaires augmente les coûts sans apporter de valeur ajoutée.
    ➡️ Sous-utilisation des talents : Un mauvais usage des compétences des équipes limite l’innovation.

     

    Mettre en place une démarche Lean en entreprise

    L’adoption du Lean Management dans une entreprise nécessite une approche structurée et une implication forte des équipes. Il ne s’agit pas seulement d’appliquer des outils, mais de transformer la culture organisationnelle en intégrant une logique d’amélioration continue. Suivre un processus bien défini permet d’assurer une transition efficace et durable.

    Étapes clés pour une implémentation réussie

    Customised iconAnalyse des processus : Observer les flux existants et identifier les inefficiences.
    Customised iconIdentification des gaspillages : Cartographier les tâches inutiles à éliminer.
    Customised iconDéploiement d’outils Lean : Intégrer les méthodes adaptées (5S, Kanban…).
    Customised iconFormation des équipes : Sensibiliser et impliquer les collaborateurs dans la démarche.
    Customised iconSuivi et amélioration continue : Ajuster régulièrement les processus pour garantir la performance.

     Exemples concrets d’entreprises ayant adopté le Lean

    Dans l’industrie automobile, Toyota a révolutionné son système de production avec le Toyota Production System (TPS), permettant de réduire les stocks et d’optimiser les flux de production. En appliquant le Juste-à-temps et le Kaizen, l’entreprise a significativement amélioré sa rentabilité et la qualité de ses produits.

    Un autre exemple est celui d’un hôpital qui a utilisé le Lean Management pour améliorer la gestion des urgences. En optimisant les temps d’attente et en réorganisant les équipes, il a réduit le temps moyen de prise en charge des patients de 30 %, tout en améliorant la satisfaction des patients et du personnel.

    Défis et erreurs courantes à éviter

    ⚠️ Résistance au changement : L’adhésion des équipes est essentielle. Un manque de communication et de formation peut freiner l’implémentation du Lean.
    ⚠️ Mauvaise adaptation des outils : Appliquer des méthodes Lean sans les adapter au contexte spécifique de l’entreprise peut mener à des résultats inefficaces.
    ⚠️ Manque de suivi : Sans un contrôle régulier, les gains obtenus risquent d’être perdus à long terme.

     

    Lean Management et transformation digitale : vers une industrie plus performante

    L’essor du numérique révolutionne la mise en œuvre du Lean Management. Grâce aux technologies connectées, les entreprises peuvent suivre en temps réel leurs performances et améliorer l’efficacité opérationnelle.

    L’évolution du Lean avec les nouvelles technologies

    L’intégration de l’automatisation, de l’Internet des Objets (IoT) et des systèmes intelligents permet une gestion plus fluide des flux de production. Par exemple, les capteurs IoT permettent d’analyser en continu l’état des machines, réduisant ainsi les temps d’arrêt grâce à la maintenance prédictive.

    L’impact des solutions connectées sur la productivité industrielle

    Des solutions digitales permettent de mesurer et ajuster en temps réel les processus de production. Par exemple, l’utilisation de tableaux de bord numériques aide à identifier rapidement les déviations et à réagir immédiatement aux anomalies.

    Le rôle des outils digitaux pour un Lean plus efficace

    Les logiciels spécialisés facilitent l’application du Lean en automatisant certaines tâches, comme la planification des ressources ou le suivi des indicateurs de performance (KPI). L’association entre Lean et digitalisation permet d’obtenir des résultats plus rapides et mesurables.

     

    L’approche Teeptrak du Lean Management

    Nos solutions pour le suivi et l’optimisation de la performance industrielle

    Teeptrak propose des outils connectés permettant d’analyser en temps réel la performance des équipements et d’identifier les gaspillages. Grâce à des capteurs intelligents, il devient possible de suivre l’efficacité des machines et d’optimiser les processus de production.

    Comment nous aidons les entreprises à réduire les gaspillages et maximiser leur TRS

    Nos solutions permettent de réduire les arrêts non planifiés, d’optimiser le temps de production et d’améliorer le taux de rendement synthétique (TRS). Par exemple, une entreprise manufacturière a pu augmenter son efficacité de 15 % en ajustant ses processus après l’analyse de données collectées par Teeptrak.

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    FAQ – Réponses aux questions les plus posées sur le Lean Management

    Quel est le principe du Lean Management ?

    Le Lean Management repose sur l’amélioration continue des processus pour réduire les gaspillages et maximiser la valeur client. Il s’agit d’optimiser la gestion des ressources pour accroître la performance.

    Quels sont les 8 gaspillages du Lean ?

    Les 8 gaspillages identifiés par le Lean Management sont :

    Surproduction : produire plus que la demande réelle.
    Temps d’attente : délais entre les étapes de production.
    Transports inutiles : déplacements excessifs de matières ou de produits.
    Stocks excessifs : accumulation non nécessaire de marchandises.
    Mouvements inutiles : déplacements non optimisés des employés.
    Défauts et reprises : erreurs nécessitant corrections ou retouches.
    Sur-qualité : réalisation d’étapes ou de fonctionnalités superflues, augmentant les coûts sans valeur ajoutée.
    Sous-utilisation des talents : ne pas exploiter pleinement les compétences des collaborateurs.

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  • La qualité industrielle : Principes, Outils et Pratiques

    La qualité industrielle : Principes, Outils et Pratiques

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    La qualité industrielle occupe une place centrale dans le monde de l’industrie moderne. Elle vise à garantir que les produits et services répondent aux exigences des clients tout en assurant la conformité aux normes réglementaires. Cette démarche ne se limite pas au contrôle des processus de production, mais englobe également la gestion des risques, la sécurité et l’amélioration continue. Cet article explore les principes, les outils et les pratiques qui façonnent la qualité industrielle aujourd’hui.

    Introduction à la qualité industrielle

    Qu’est-ce que la qualité dans l’industrie ?

    Dans le secteur industriel, la qualité désigne la capacité d’un produit ou d’un service à répondre aux attentes des clients tout en respectant les exigences réglementaires. Elle englobe les aspects techniques, de sécurité et de performance. La qualité industrielle repose sur des méthodes et outils visant à garantir la conformité des produits et l’efficacité des processus de production.

    Importance et enjeux de la qualité industrielle

    La qualité est cruciale pour maintenir la compétitivité d’une entreprise industrielle. Une démarche qualité bien structurée permet de minimiser les défauts, d’améliorer la satisfaction client et de maîtriser les risques liés à la sécurité. De plus, elle favorise l’efficacité organisationnelle, la réduction des coûts de non-conformité et le respect des normes environnementales, tout en assurant une amélioration continue des processus.

    Les fondamentaux de la qualité industrielle

    Les 4 types de qualité et leurs implications

    Les quatre types de qualité sont la qualité du produit, la qualité des processus, la qualité du service et la qualité environnementale. Chacun joue un rôle fondamental dans la satisfaction des exigences des clients et la conformité réglementaire. En optimisant ces dimensions, les entreprises peuvent mieux contrôler la production, améliorer la performance et réduire les risques.

    Les 4 piliers de la qualité industrielle

    Les quatre piliers de la qualité industrielle sont le contrôle, l’amélioration continue, la gestion des risques et la conformité aux normes. Ensemble, ils constituent la base des démarches qualité, en assurant la robustesse des processus et la satisfaction des parties prenantes. La mise en œuvre de ces piliers est essentielle pour garantir la performance industrielle sur le long terme.

    Histoire et évolution de la démarche qualité en industrie

    La démarche qualité en industrie a évolué avec le temps, passant d’un simple contrôle des produits à un système intégré de management de la qualité. Le concept de qualité totale (TQM) a émergé au 20e siècle, mettant l’accent sur la participation de l’ensemble des équipes et la responsabilité des ingénieurs dans l’amélioration continue des processus de production et des services.

    Normes et certifications en qualité industrielle

    Normalisation et certification ISO 9001

    La norme ISO 9001 est un cadre international pour le management de la qualité. Elle vise à aider les entreprises à organiser leurs processus, à améliorer la satisfaction client et à garantir la conformité des produits et services. Les entreprises certifiées ISO 9001 bénéficient d’une reconnaissance de leur démarche qualité, ce qui renforce leur compétitivité sur le marché.

    Assurance qualité et management de la qualité totale (TQM)

    L’assurance qualité vise à garantir que les processus de production sont maîtrisés et que les produits répondent aux exigences de qualité. Le management de la qualité totale (TQM) s’appuie sur l’implication de tous les employés dans l’amélioration continue. Cette méthode permet de renforcer la satisfaction client et d’améliorer les performances globales de l’entreprise, tout en limitant les risques de non-conformité.

    Implications de la qualité sur la sécurité et la conformité réglementaire

    La qualité industrielle est étroitement liée à la sécurité et à la conformité réglementaire. Les normes de qualité garantissent que les produits et services respectent les exigences légales, réduisant ainsi les risques pour les consommateurs et l’environnement. Une gestion rigoureuse des processus permet d’éviter les accidents, les défauts de conformité et d’assurer la sécurité des travailleurs dans un cadre professionnel.

    Outils et méthodes pour maintenir la qualité

    Dans l’industrie, la mise en place de méthodes efficaces pour maintenir la qualité est essentielle. Les entreprises industrielles utilisent divers outils et techniques pour contrôler la production, garantir la conformité des produits, et améliorer les processus. Ces méthodes permettent non seulement de minimiser les défauts mais aussi d’optimiser la performance globale. L’objectif est de renforcer la satisfaction client tout en assurant la sécurité et la durabilité des activités.

    Quels sont les 7 outils de la qualité ?

    Les 7 outils de la qualité sont des méthodes indispensables dans la gestion de la qualité industrielle : diagramme de Pareto, diagramme de causes-effets, histogramme, feuille de contrôle, diagramme de dispersion, graphiques de contrôle, et diagrammes en arête de poisson. Ces outils permettent de mieux visualiser les problèmes et d’identifier les points d’amélioration au sein des processus de production.

    Lean manufacturing et amélioration continue

    Le Lean manufacturing est une approche centrée sur l’élimination des gaspillages dans la production. En intégrant des techniques d’amélioration continue, comme le Kaizen, l’industrie peut améliorer son efficacité opérationnelle. Cette méthode repose sur la participation de toutes les équipes et une organisation rigoureuse pour optimiser les processus et garantir la satisfaction du client tout en minimisant les coûts.

    Rôle et responsabilités dans le management de la qualité

    Le management de la qualité dans une entreprise industrielle repose sur une gestion structurée et impliquant de nombreuses responsabilités. Les ingénieurs qualité jouent un rôle central dans la mise en œuvre des procédures et le suivi des normes. Ils collaborent avec l’ensemble des équipes pour assurer la conformité des produits aux exigences clients et réglementaires. L’optimisation de ces processus permet de maintenir la performance et la sécurité des activités.

    Management et ingénierie qualité industrielle

    Les responsables qualité et les ingénieurs qualité sont au cœur du management de la qualité. Leur mission consiste à superviser la mise en place des normes, organiser les contrôles qualité et coordonner les équipes. Ils assurent également la conformité des produits et des processus, tout en veillant à l’amélioration continue, dans un environnement industriel souvent complexe et exigeant.

    Activités et compétences clés

    Les professionnels de la qualité industrielle doivent maîtriser diverses compétences clés. Parmi celles-ci : la gestion des risques, la mise en place de procédures, l’analyse des données de production, et l’utilisation d’outils de contrôle. Ces activités sont essentielles pour garantir la conformité des produits et améliorer la performance globale de l’entreprise, en s’assurant que toutes les exigences de sécurité et de conformité soient respectées.

    Exigences en matière de compétences et de formation

    La formation est essentielle pour les métiers de la qualité dans l’industrie. Les ingénieurs qualité doivent posséder une expertise technique et avoir suivi des formations spécifiques sur les normes, les méthodes d’amélioration continue, et la gestion des processus. Une bonne maîtrise des outils de gestion de la qualité, combinée à une solide connaissance des exigences légales, est cruciale pour assurer la sécurité et la conformité des produits.

    Impact de la qualité sur l’efficacité et la rentabilité

    L’intégration d’une démarche qualité dans l’industrie a des répercussions directes sur l’efficacité opérationnelle et la rentabilité de l’entreprise. En optimisant les processus et en réduisant les défauts, les organisations industrielles peuvent accroître la productivité et renforcer leur compétitivité. L’amélioration continue permet également de fidéliser les clients en leur offrant des produits conformes aux normes de qualité, et ce, dans un environnement maîtrisé.

    Augmentation de l’efficacité opérationnelle

    Une gestion rigoureuse de la qualité permet d’améliorer l’efficacité opérationnelle. En identifiant les points faibles des processus de production et en les optimisant, les entreprises peuvent réduire les coûts liés aux défauts et aux non-conformités. Cela passe par une utilisation rationnelle des ressources et une réduction des risques, améliorant ainsi la productivité et les performances des équipes.

    Amélioration de la satisfaction du client

    La satisfaction du client est un enjeu central dans toute démarche qualité. En produisant des biens conformes aux attentes et aux normes, l’entreprise assure un service fiable. La mise en place d’une gestion proactive des retours clients, associée à une amélioration continue, permet non seulement de fidéliser les clients mais aussi de renforcer la réputation de l’entreprise sur le marché industriel.

    Augmentation de la rentabilité de l’entreprise

    La qualité industrielle, bien gérée, a un impact direct sur la rentabilité de l’entreprise. En limitant les coûts de production liés aux erreurs et en améliorant la conformité des produits, les marges peuvent être augmentées. La réduction des risques et la minimisation des défauts permettent non seulement de réduire les coûts, mais également de renforcer la compétitivité de l’organisation sur des marchés de plus en plus exigeants.

    Défis et solutions dans la mise en œuvre de la qualité

    Mettre en œuvre une démarche qualité dans une entreprise industrielle n’est pas sans défis. Les résistances internes au changement, la difficulté de mesurer certains aspects de la qualité et les obstacles organisationnels peuvent freiner cette démarche. Cependant, des solutions existent pour surmonter ces obstacles, notamment via la formation des équipes, l’utilisation d’outils de gestion adaptés, et une communication efficace.

    Résistances internes et problèmes d’adaptation au changement

    L’un des principaux défis dans l’implémentation de la qualité industrielle est la résistance au changement. Certains employés peuvent voir dans ces nouvelles procédures une surcharge de travail ou une remise en question de leurs pratiques. Pour surmonter cette difficulté, il est essentiel de former les équipes, d’assurer une communication transparente et de faire participer l’ensemble des acteurs à la démarche d’amélioration continue.

    Difficultés de mesure et d’évaluation de la qualité

    Mesurer la qualité dans l’industrie peut s’avérer complexe, surtout lorsque les critères sont subjectifs ou non quantifiables. Les outils d’évaluation doivent être adaptés aux spécificités de chaque secteur et processus. La mise en place d’indicateurs de performance clairs et précis, ainsi que l’analyse des données de production, sont des éléments essentiels pour garantir un contrôle efficace et une amélioration continue des produits et des services.

    TEEPTRAK : Une solution clé pour l’optimisation de la qualité industrielle

    TEEPTRAK propose des systèmes tout-en-un permettant de suivre et d’améliorer la qualité au sein des usines. Grâce à des modules de captation et des interfaces utilisateurs intuitives, les entreprises peuvent superviser en temps réel les arrêts machines, les causes de pertes de performance, et les indicateurs qualité. Ces données sont consolidées automatiquement, facilitant le pilotage des chantiers d’amélioration continue et garantissant une conformité accrue des produits et processus dans différents secteurs industriels.

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  • Comprendre le Lean Manufacturing : Principes, Outils et Applications

    Comprendre le Lean Manufacturing : Principes, Outils et Applications

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    Le Lean Manufacturing est une méthode de gestion qui a transformé la manière dont les entreprises abordent la production. Il vise à améliorer continuellement les processus en se concentrant sur l’élimination des gaspillages. Ce système repose sur l’optimisation des flux, la création de valeur pour le client, et la réduction des stocks et des coûts inutiles. Grâce à des outils et des méthodes spécifiques, le Lean permet d’accroître la performance, la qualité et la flexibilité des entreprises, tout en augmentant la satisfaction des clients et en favorisant une meilleure utilisation des ressources.

    Introduction au Lean Manufacturing

    Le Lean Manufacturing se concentre sur une démarche rigoureuse qui cherche à maximiser l’efficacité de chaque processus de production en éliminant les étapes superflues. Ce système de gestion, initialement développé par Toyota, met l’accent sur l’amélioration continue, connue sous le terme de « Kaizen », et implique chaque membre de l’organisation. L’objectif est de produire uniquement ce qui est nécessaire, au bon moment, et de répondre aux exigences des clients avec la meilleure qualité possible tout en minimisant les coûts et les ressources nécessaires.

    Qu’est-ce que le Lean Manufacturing ?

    Le Lean Manufacturing est un système de management qui vise à éliminer tout ce qui n’apporte pas de valeur dans le processus de production, tels que les gaspillages, les temps d’attente ou les stocks inutiles. En focalisant sur les activités qui contribuent directement à la création de valeur pour le client, cette méthode permet d’améliorer la performance globale de l’entreprise. En d’autres termes, le Lean cherche à optimiser chaque activité afin que chaque ressource soit utilisée de la manière la plus efficace possible, tout en garantissant une meilleure qualité et une réduction des coûts.

    Origine et philosophie du Lean Manufacturing

    Le Lean Manufacturing tire ses racines du Toyota Production System (TPS), une approche révolutionnaire développée après la Seconde Guerre mondiale. L’idée principale était de créer un système de production flexible qui réduirait le gaspillage, tout en améliorant la qualité. Cette philosophie repose sur le Kaizen (amélioration continue), qui encourage chaque employé à contribuer à l’optimisation des processus. Le Lean s’est ensuite diffusé dans le monde entier, devenant une référence pour de nombreuses entreprises cherchant à améliorer leurs performances en termes de qualité, de coûts et de délais.

    Les 5 principes fondamentaux du Lean Manufacturing

    Le Lean Manufacturing repose sur cinq principes essentiels qui aident les entreprises à organiser leurs processus de manière efficace. Ces principes permettent non seulement d’éliminer les gaspillages, mais aussi d’améliorer l’organisation et la fluidité des flux de travail, tout en se concentrant sur la satisfaction du client. L’application rigoureuse de ces principes dans chaque étape de la production assure une amélioration continue des performances.

    Identifier la valeur

    Le premier principe du Lean Manufacturing consiste à définir clairement la valeur du produit ou service du point de vue du client. Cela implique de comprendre précisément ce que le client attend, ce qui permet à l’entreprise de concentrer ses efforts sur les activités qui créent cette valeur. En éliminant les tâches ou processus inutiles qui n’ajoutent pas de valeur, l’entreprise peut réduire ses coûts et améliorer la qualité de ses produits ou services, tout en répondant mieux aux attentes du client.

    Cartographier les flux de valeur

    La cartographie des flux de valeur est une étape cruciale qui permet de visualiser chaque processus impliqué dans la création d’un produit ou service. Ce principe aide les entreprises à analyser en détail chaque étape du flux de travail, afin d’identifier les gaspillages et les inefficacités qui doivent être supprimés. En optimisant les flux, l’entreprise peut améliorer la rapidité, la qualité, et l’efficacité de sa production, tout en réduisant les stocks et les ressources inutiles.

    Créer le flux

    La création d’un flux continu consiste à faire en sorte que les processus se déroulent de manière fluide, sans interruptions, temps d’attente ou blocages. Ce principe garantit que chaque étape de la production est connectée de manière optimale à la suivante, permettant une circulation constante des matériaux et des informations. En réduisant les goulots d’étranglement et les retards, l’entreprise peut améliorer sa réactivité, la qualité de ses produits, et optimiser ses coûts, tout en réduisant les délais de production.

    Tirer les flux

    Le système de flux tirés repose sur la production en fonction de la demande réelle du client, plutôt que de produire en grandes quantités en espérant les vendre. Cela permet de réduire les stocks, d’éviter les surproductions et de minimiser les ressources gaspillées. Le processus de production devient ainsi plus réactif et flexible, ajustant la fabrication des produits en fonction des besoins réels des clients, tout en maintenant des niveaux de stocks plus bas et en optimisant l’utilisation des ressources.

    Amélioration continue

    L’amélioration continue, ou Kaizen, est un pilier fondamental du Lean Manufacturing. Ce principe consiste à constamment chercher des moyens d’améliorer les processus existants, qu’il s’agisse de réduire les coûts, d’optimiser les flux ou d’améliorer la qualité des produits. Chaque employé, à tous les niveaux de l’organisation, est encouragé à identifier des problèmes et à proposer des solutions, créant ainsi une culture de progrès constant. Cette démarche permet à l’entreprise de rester compétitive et de s’adapter aux évolutions du marché.

    Outils et techniques du Lean Manufacturing

    Le Lean Manufacturing s’appuie sur une série d’outils et de techniques destinés à mettre en œuvre ses principes fondamentaux. Ces outils sont conçus pour aider à identifier les gaspillages, à optimiser les processus, et à améliorer la performance globale de l’entreprise. Ils permettent également de suivre les progrès de manière tangible et d’apporter des ajustements là où c’est nécessaire pour atteindre les objectifs de production.

    Quels sont les outils du Lean Manufacturing ?

    Les principaux outils du Lean Manufacturing incluent des techniques comme le 5S, le Kanban, et la cartographie des flux de valeur. Le 5S est une méthode d’organisation qui vise à améliorer l’efficacité en maintenant un espace de travail propre et ordonné. Le Kanban, quant à lui, est un système visuel qui permet de gérer les flux de travail en fonction de la demande. Ces outils, combinés à d’autres techniques comme l’analyse de MUDA (gaspillages), sont essentiels pour améliorer la performance et la réactivité de l’entreprise.

    5S, Kanban, et MUDA

    Le 5S est une méthode japonaise qui vise à organiser l’espace de travail de manière à le rendre plus efficace. Il s’agit de trier, ranger, nettoyer, standardiser et maintenir la discipline dans l’espace de production. Le Kanban est un outil visuel utilisé pour réguler les flux de travail en fonction de la demande réelle, garantissant ainsi que les produits sont fabriqués juste à temps. Enfin, l’analyse de MUDA aide à identifier et à éliminer les gaspillages qui nuisent à l’efficacité, tels que les stocks inutiles, les temps d’attente ou les activités superflues.

    Lean Thinking et amélioration continue

    Le Lean Thinking est une approche qui va au-delà des simples outils et techniques : il s’agit d’une manière de penser au niveau de toute l’organisation. En intégrant les principes du Lean Manufacturing dans chaque décision, l’entreprise adopte une démarche proactive d’amélioration continue, visant à améliorer la qualité, à réduire les coûts et à maximiser la valeur pour le client. Cela permet d’optimiser chaque aspect du processus de production et d’encourager une culture d’innovation et d’efficacité durable.

    Applications pratiques du Lean Manufacturing

    Le Lean Manufacturing ne se limite pas à des principes théoriques, il offre des applications pratiques qui permettent aux entreprises de transformer leurs processus de production en systèmes efficaces et fluides. En se concentrant sur l’élimination des gaspillages, l’amélioration continue et la création de valeur pour le client, il aide à optimiser la performance opérationnelle tout en réduisant les coûts. L’intégration du Lean dans les opérations quotidiennes transforme durablement la manière dont une organisation fonctionne.

    Comment fonctionne la méthode Lean ?

    La méthode Lean repose sur l’optimisation de chaque activité dans le flux de travail. En identifiant les étapes qui n’ajoutent pas de valeur au produit final, l’entreprise peut réduire les stocks inutiles et améliorer l’efficacité globale. Le Lean utilise divers outils, comme le Kanban ou le 5S, pour gérer le temps et les ressources de manière plus efficace. Chaque processus est constamment révisé pour s’assurer qu’il contribue directement à la satisfaction du client et à la qualité du produit ou du service final.

    Réduire les gaspillages et améliorer la qualité

    L’un des objectifs centraux du Lean Manufacturing est de réduire les gaspillages, connus sous le terme japonais « MUDA », qui nuisent à la productivité. Cela inclut les excès de stock, les temps d’attente, et les erreurs de production. En supprimant ces inefficacités, l’organisation améliore la qualité des produits tout en réduisant les coûts. Le Lean permet ainsi de se concentrer sur les étapes de travail qui créent de la valeur, tout en garantissant une meilleure utilisation des ressources.

    Objectifs et impacts du Lean Manufacturing

    Le Lean Manufacturing a des objectifs clairs : améliorer la performance de l’entreprise en réduisant les gaspillages, en augmentant la qualité des produits et en réduisant les délais. L’application des principes Lean a un impact considérable sur la compétitivité de l’entreprise, tout en augmentant la satisfaction du client. Les gains obtenus par la réduction des coûts et l’amélioration des processus se répercutent directement sur les résultats financiers et opérationnels.

    Quel est le but du Lean ?

    L’objectif principal du Lean Manufacturing est de maximiser la valeur créée pour le client tout en minimisant les ressources et les gaspillages. Cela implique une amélioration constante des processus afin d’accroître l’efficacité et la productivité. L’approche Lean est aussi axée sur la réduction des problèmes rencontrés dans la production et sur l’élimination des étapes qui n’ajoutent pas de valeur. Le résultat est une meilleure qualité de produit ou de service, des coûts réduits et des délais plus courts.

    Impact sur la qualité, les coûts et les délais

    Le Lean a un impact significatif sur les coûts, la qualité, et les délais de production. En réduisant les gaspillages et en améliorant les flux de travail, les entreprises peuvent fabriquer des produits de meilleure qualité en moins de temps, avec des coûts moindres. Le système Lean permet de répondre plus rapidement aux besoins du client, tout en réduisant les stocks et les ressources gaspillées. Cette démarche d’amélioration continue se traduit par une meilleure compétitivité et une satisfaction accrue des clients.

    Intégration du Lean Manufacturing dans les opérations quotidiennes

    L’intégration du Lean Manufacturing dans les opérations quotidiennes d’une entreprise est une étape clé pour garantir une efficacité durable. En appliquant les principes Lean au quotidien, les entreprises améliorent non seulement leurs performances, mais transforment également leur manière de travailler. La mise en œuvre réussie du Lean demande une adhésion collective et une révision constante des processus pour rester alignés avec les objectifs d’amélioration continue.

    Application des principes dans la production

    Dans la production, appliquer les principes du Lean signifie optimiser chaque étape du processus pour qu’elle crée le maximum de valeur tout en réduisant les gaspillages. Cela se traduit par des flux de travail plus fluides, une réduction des temps d’attente et une élimination des erreurs. Les entreprises qui appliquent le Lean dans leurs opérations quotidiennes utilisent des outils comme le Kanban pour réguler la production et s’assurer que chaque activité apporte une valeur ajoutée directe au client.

    Étapes pour une mise en œuvre réussie

    Pour réussir l’intégration du Lean Manufacturing, une entreprise doit suivre plusieurs étapes clés. Cela commence par une cartographie des processus actuels pour identifier les problèmes et les gaspillages. Ensuite, il est important de former les employés aux principes et aux outils Lean, afin qu’ils puissent contribuer à l’amélioration continue. Enfin, une culture de l’organisation qui valorise l’efficacité, la qualité, et la flexibilité doit être instaurée pour garantir que le Lean devienne une partie intégrante des opérations quotidiennes.

    Optimisation de la production avec Teeptrak et le Lean Manufacturing

    Les solutions Teeptrak combinent les principes du Lean Manufacturing avec l’IoT pour améliorer la performance des usines. Grâce à des outils comme Perftrak pour le suivi des machines et Pacetrak pour les tâches manuelles, Teeptrak permet de réduire les gaspillages, d’améliorer la qualité et d’optimiser les flux de production. En captant et en analysant les données en temps réel, ces systèmes offrent une vision claire des performances pour lancer des actions d’amélioration continue efficaces.

    Teeptrak : Une solution clé pour optimiser la performance dans l’industrie 4.0

    Teeptrak propose des systèmes tout-en-un qui modernisent les usines en offrant un suivi en temps réel des machines et des processus. Grâce à des modules plug&play, les données sont collectées instantanément et exportables à tout moment pour optimiser la production. Ces solutions permettent d’améliorer la productivité, d’identifier les causes des arrêts et de lancer des initiatives d’amélioration continue. Adaptés à divers secteurs, les outils de Teeptrak contribuent à la transformation numérique des entreprises.

    [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.27.2″ _module_preset=”default” text_font=”|300|||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_2_font_size=”28px” locked=”off” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]

  • Tout ce que vous devez savoir sur les tours d’usine (ou Gemba Walks)

    Tout ce que vous devez savoir sur les tours d’usine (ou Gemba Walks)

    [et_pb_section fb_built=”1″ _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” custom_margin=”0px||||false|false” custom_padding=”0px||4px||false|false” global_colors_info=”{}”][et_pb_row _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}”][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” text_font=”|300|||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_font=”||||||||” header_font_size=”38px” global_colors_info=”{}”]

    Du contrôle de la qualité au suivi de la production

    [/et_pb_text][et_pb_image src=”https://teeptrak.com/wp-content/uploads/2024/12/trait-teeptrak-clear.svg” title_text=”TRAIT PR LA MECHANTE AURIANE-12-12″ _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}”][/et_pb_image][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” text_font=”||||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_font=”||||||||” header_font_size=”38px” global_colors_info=”{}”]

    Les Gemba Walks peuvent se révéler être un outil précieux du Lean management pour le contrôle de la qualité, si et seulement si elles sont effectuées correctement.

    Veillez à choisir les bonnes personnes pour ce travail, à établir un plan et à prendre le temps de parler aux employés. Pensez aussi à répéter ces tours de manière régulière, cela vous permettra d’établir un véritable suivi des améliorations apportées à vos process de production.

    Vous pouvez être certains que l’exercice sera réussi et vos Gemba Walks en seront productifs et utiles en prenant en compte ces points et conseils sur leur organisation.

    [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}”][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” text_font=”||||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_2_font=”||||||||” custom_margin=”||50px|||” global_colors_info=”{}”]

    Le Gemba Walk, c’est quoi au juste ?

     

    Dans l’industrie manufacturière, il existe une pratique connue sous le nom de Gemba Walk ou tour d’usine. Cette pratique consiste, pour expliquer brièvement son principe, à se rendre dans l’atelier et à vérifier les opérations en personne.

    De nombreuses personnes considèrent les visites Gemba comme un élément essentiel du contrôle de la qualité, et pouvant offrir de nombreux avantages aux entreprises quand leur exécution est parfaitement maîtrisée. En revanche, si elles ne sont pas effectuées correctement, elles peuvent faire plus de mal que de bien.

    Dans cet article, nous allons vous expliquer tout ce que vous devez savoir sur ces tours d’usine et leurs enjeux. Nous vous donnerons aussi quelques instructions pour vous guider sur la marche à suivre pour les effectuer.

    Nous espérons que ces informations vous aideront à tirer le meilleur parti de ce précieux outil de contrôle de la qualité et de Lean management !

    [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” text_font=”||||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_2_font=”||||||||” custom_margin=”||50px|||” global_colors_info=”{}”]

    Avec qui et quand ?

     

    La première étape pour effectuer une marche Gemba consiste à sélectionner les bonnes personnes pour ce travail.

    Pour vous entourer, vous voudrez en priorité choisir des employés qui connaissent bien le processus de fabrication. Leur niveau de connaissance des process doit pouvoir leur permettre d’identifier les problèmes potentiels.

    Une fois votre équipe constituée, vous devrez décider du moment où vous effectuerez la visite. Le meilleur moment pour une Gemba Walk est généralement pendant la production, lorsque vous pouvez voir en direct comment les choses se déroulent.

    L’objectif étant quand même de faire cet exercice quotidiennement pour assurer un suivi des opérations, vous pouvez également planifier ces tours à des moments différents de la journée (sur différents shifts par exemple). L’idéal reste de le faire à heure fixe, pour habituer les opérateurs. Grâce à cela, les personnes visitées prépareront leurs questions et ne seront pas surprises.

    [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” text_font=”||||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_2_font=”||||||||” custom_margin=”||50px|||” global_colors_info=”{}”]

    Préparez votre tour pour en maximiser les résultats

     

    Pour tirer le meilleur parti de votre visite Gemba, il est important d’avoir un plan.

    Avant de vous rendre dans l’usine, prenez le temps d’établir une liste de contrôle des éléments que vous souhaitez examiner.

    Établissez en amont un parcours et repérez les points potentiellement critiques. Cette liste doit inclure les zones évidentes et cachées, qui pourraient être améliorées.

    Une fois que vous êtes dans l’usine, veillez à parler aux opérateurs. Ce sont les meilleurs retours que vous pourrez avoir. Ils connaissent Ils seront en mesure de vous confier des problèmes qu’ils rencontrent et de vous proposer des suggestions d’amélioration.

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    Du contrôle de la qualité au suivi de la production

     

    Les Gemba Walks peuvent se révéler être un outil précieux du Lean management pour le contrôle de la qualité, si et seulement si elles sont effectuées correctement.

    Veillez à choisir les bonnes personnes pour ce travail, à établir un plan et à prendre le temps de parler aux employés. Pensez aussi à répéter ces tours de manière régulière, cela vous permettra d’établir un véritable suivi des améliorations apportées à vos process de production.

    Vous pouvez être certains que l’exercice sera réussi et vos Gemba Walks en seront productifs et utiles en prenant en compte ces points et conseils sur leur organisation.

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  • Ce qu’est Muda Muri Mura et pourquoi vous devez l’adopter en Lean Management

    Ce qu’est Muda Muri Mura et pourquoi vous devez l’adopter en Lean Management

    [et_pb_section fb_built=”1″ _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” custom_margin=”0px||||false|false” custom_padding=”0px||4px||false|false” global_colors_info=”{}”][et_pb_row _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}”][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” text_font=”|300|||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_font=”||||||||” header_font_size=”38px” global_colors_info=”{}”]

    Ce qu’est Muda Muri Mura et pourquoi vous devez l’adopter en Lean Management

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    Muda Mura Muri.

    Trois mots qui peuvent sembler compliqués à prononcer, mais qui cachent en réalité une philosophie de management simple et efficace : le Lean management.
    Cette philosophie repose sur trois principes fondamentaux que sont la réduction des gaspillages (Muda), l’amélioration de la qualité (Mura) et la vitesse (Muri).

    Dans cet article, nous allons voir en détail ce qu’est muda mura muri et comment cela s’applique au Lean management.

    [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}”][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” text_font=”||||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_2_font=”||||||||” custom_margin=”||50px|||” hover_enabled=”0″ global_colors_info=”{}” sticky_enabled=”0″]

    Les termes Muda Mura Muri : explications

     

    Le terme muda désigne tout ce qui est considéré comme un gaspillage dans le processus de production. Il existe sept types de gaspillages que sont la surproduction, les stocks inutiles, le transport superflu, le traitement en double, les défauts de produits, le temps d’attente et le travail inutile. Tous ces gaspillages ont un impact négatif sur l’efficacité du processus de production et doivent donc être éliminés.

    La mura, quant à elle, désigne l’inconsistance et les irrégularités dans le processus de production. Ces irrégularités peuvent être causées par des équipements inadaptés, des méthodes de travail incorrectes ou encore par des erreurs humaines. La lutte contre la mura permet d’améliorer la qualité du produit final et de rendre le processus de production plus fluide.

    Enfin, muri désigne tout ce qui est considéré comme une source de stress inutile dans le processus de production. Le stress peut être causé par des objectifs irréalistes, un manque de flexibilité ou encore par une organisation inadaptée. La lutte contre le muri permet de diminuer le stress au travail et d’améliorer la qualité de vie des équipes sur le terrain.

    [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” text_font=”||||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_2_font=”||||||||” custom_margin=”||50px|||” hover_enabled=”0″ global_colors_info=”{}” sticky_enabled=”0″]

    Les fondations de la philosophie Lean

     

    Le Lean management repose donc sur ces trois principes fondamentaux qu’il s’agisse de réduire les gaspillages, d’améliorer la qualité ou de diminuer le stress au travail.
    Cette philosophie s’applique aussi bien aux usines qu’aux bureaux, et son importance ne cesse de croître dans l’univers de l’industrie en général.

    Les bénéfices à tirer du Lean management sont nombreux, mais il est important de souligner que cette philosophie ne doit pas être adoptée à la légère. En effet, le Lean management nécessite une organisation précise et une discipline de fer pour pouvoir être mis en place de manière efficace.

    Si vous souhaitez adopter le Lean management dans votre entreprise, n’hésitez pas à faire appel à un consultant spécialisé pour vous aider à mettre en place les bonnes pratiques.

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  • Le Lean Management : introduction

    Le Lean Management : introduction

    [et_pb_section fb_built=”1″ _builder_version=”4.16″ global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_row _builder_version=”4.16″ background_size=”initial” background_position=”top_left” background_repeat=”repeat” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.16″ custom_padding=”|||” global_colors_info=”{}” custom_padding__hover=”|||” theme_builder_area=”post_content”][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” header_font_size=”38px” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”]

    [/et_pb_text][et_pb_image src=”https://teeptrak.com/wp-content/uploads/2024/12/trait-horizontal.png” title_text=”horizontal-split” _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content”][/et_pb_image][et_pb_text _builder_version=”4.27.4″ text_font=”||||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px” header_2_font_size=”28px” background_size=”initial” background_position=”top_left” background_repeat=”repeat” hover_enabled=”0″ global_colors_info=”{}” theme_builder_area=”post_content” sticky_enabled=”0″]

    Aujourd’hui, le Lean Management est connu et présent dans de nombreux secteurs d’activité. Les définitions ne sont pas toujours identiques, mais un tronc commun en ressort. Nous allons donc répondre ici à de nombreuses interrogations, des plus simples aux plus inattendues. Après avoir lu cet article, vous pourrez répondre à la question : « Qu’est-ce que le Lean management ? » ou encore « Quelle est la différence entre le Lean Management et le Lean Manufacturing ? » par exemple.
    Assez tergiversé, le Lean management, c’est quoi ?

     

     

    Le Lean se définit comme une logique d’organisation et un système de management destinés à créer de la valeur pour les clients. Les clients peuvent être internes ou externes, de service ou de produit. Les avantages du Lean management sont multiples, grâce à de nombreux outils. Les gaspillages vont être supprimés pour permettre au client de jouir d’une meilleure qualité, de meilleurs délais, ou encore d’une capacité de production augmentée. En général, le Lean Management améliore l’expérience client.

     

     

     

    L’origine du Lean

     

    Le terme “Lean” a d’abord été proposé par James Womack et Daniel Jones (MIT) en 1980, suite à une étude comparative de la performance industrielle automobile Japonaise à celles des États-Unis et de l’Europe. Nous n’étions pas encore à la mise en place du Lean Management, mais à son observation.

     

     

    Le système de production mis en place par TOYOTA au Japon est apparu comme plus performant que tout autre système industriel. Répandu à partir des années 90, ce système de production est devenu la référence. A ce jour, un grand nombre d’entreprises ont défini leur propre système, mais à chaque fois, il s’agit d’une réécriture du modèle Toyota.

     

     

     

    Les objectifs du Lean

     

    Le Lean poursuit 3 objectifs :

     

    • Se concentrer sur les attentes clients et la valeur à créer pour les satisfaire.
    • Améliorer les performances de votre entreprise en éliminant « les gaspillages » dans les processus.
    • Prendre en compte les besoins des collaborateurs en augmentant la fluidité, la flexibilité, l’agilité.

     

    Au début, le champ d’application du Lean était la production industrielle, puis il a rapidement dépassé ce domaine pour investir toutes les fonctions support à la production (méthode, gestion des stocks, qualité, maintenance), au développement et à l’industrialisation de nouveaux produits, aux achats… Mais alors, quelle est la différence entre le Lean Management et le Lean Manufacturing ?

     

     

    Il semblerait le la différence entre Lean Manufacturing et Lean Management soit une nuance. Le Lean Manufacturing est le Lean Management appliqué à la production industrielle. Aujourd’hui, le Lean Management couvre également le domaine des services et toutes les fonctions support telles que les RH, la finance, les services généraux, et les fonctions commerciales (Ventes, ADV, plateformes d’appels…).

     

     

     

    La mise en place du Lean Management

     

    Le Lean Management est une approche pragmatique et simple. C’est d’ailleurs sûrement à cause de sa subtilité qu’il est difficile d’en comprendre le sens profond et tous les ressorts. Souvent les entreprises s’intéressent principalement aux outils prêts à l’emploi du Lean comme le 5S, l’analyse des flux, le SMED, etc…

     

     

    Dans d’autres cas la résistance au changement sur le terrain est plus difficile à vaincre. Le sentiment de pression prend le dessus sur l’amélioration réelle des activités. L’intégration du Lean management doit donc s’appuyer sur la bienveillance des managers. Le Lean est donc la première brique à poser pour les managers. Ils doivent en avoir compris les avantages avant que vous commenciez votre projet de Lean Management.

     

     

     

    Quelle est la place du Lean Management ?

     

    Une entreprise fonctionne par la mise en œuvre et l’amélioration d’un ensemble de processus qui permettent d’obtenir un résultat, une donnée de sortie par une suite de transformations comme par exemple :

     

     

      • Processus de conception -> qui transforme une idée en produit ou service commercialisable,

     

      • Processus d’achat -> qui transforme un besoin en produit,

     

      • Processus de fabrication -> qui transforme une matière première en produit fini etc.

     

    Tout est « processus ». Cela est aussi vrai dans les activités support ou tertiaire qui transforment des données en informations, des informations en décisions etc.

     

     

    Un projet est la réalisation d’un processus de transformation d’une idée ou d’un besoin en résultat. Le Lean Management participant activement à l’amélioration des processus, c’est l’assurance de résultats positifs.

     

     

    Contrairement à ce qui peut être dit, le Lean Management n’est pas un danger pour les salariés, il est là pour leur faciliter le travail.

     

     

     

    Le Lean pour les managers: comment s’appuyer sur ses équipes de management ?

     

     

    Dans la mise en place d’une démarche Lean, le manager doit adopter la posture de leader qui anime et soutient ses collaborateurs. Il doit apprendre à faire monter en compétence. Il doit également régler leurs problèmes quotidiens en autonomie. Cela demande donc une évolution des mentalités et des comportements dans les fonctions managériales.

     

     

    Il faut garder à l’esprit que la personne qui créée la valeur ajoutée est la priorité.

     

     

    Les améliorations Lean sont largement portées par les opérateurs qui développent une culture du problème et de sa résolution. Il est important de les accompagner afin qu’ils deviennent plus proactifs et autonomes. Ces transformations doivent être décidées, conduites et accompagnées par la hiérarchie avec les rôles suivants :

     

     

    Equipe Terrain : Être acteurs des chantiers/ Gérer la qualité/ Remonter les gaspillages/ Respecter les process et les standards

     

     

    Managers : Piloter la performance avec ses équipes et s’assurer du respect des standards/ Animer les méthodes de résolution de problèmes/ Être la référence de l’amélioration continue

     

     

    Direction : Identifier les besoins d’amélioration vs stratégie/Être demandeur de nouveaux chantiers/Dégager des moyens/Valider les propositions de solutions/ Encourager et challenger les résultats.

     

     

    Loin d’être un levier pour les plans sociaux; le Lean management constitue un moyen de mettre en lumière les bons éléments qui pourraient devenir des leaders. Donner du sens et de l’autonomie est un challenge permanent qui aide les équipes à développer leurs compétences.

     

     

    Ensuite, la méthode du Lean Management se met en œuvre avec l’ensemble du personnel. L’adhésion et la confiance dans l’objectif constituent des conditions essentielles à la réussite d’une démarche de Lean.

     

     

     

    Quels résultats avec le Lean Management ?

     

     

    Grâce à plusieurs années d’expérience dans le déploiement de démarches Lean, notamment au sein de groupes du CAC40, nous sommes capables d’attester de l’impact que peuvent apporter nos solutions dans votre démarche Lean. Rien de tel que la combinaison de nouveaux outils IoT associés aux principes traditionnels afin d’inclure cette démarche dans votre culture d’entreprise.

     

     

    Pour rester Lean, nous avons développé des outils simples mais automatisés sur les tâches à non-valeur ajoutée. Nous avons pris en compte les contraintes techniques et humaines du terrain.

     

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  • L’ergonomie, une étape nécessaire dans votre démarche Lean

    L’ergonomie, une étape nécessaire dans votre démarche Lean

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    L’ergonomie, une étape nécessaire dans votre démarche Lean

    [/et_pb_text][et_pb_image src=”https://teeptrak.com/wp-content/uploads/2024/12/trait-horizontal.png” _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” title_text=”horizontal-split” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″][/et_pb_image][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ text_font=”|300|||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px”]

    L’ergonomie au poste de travail est un principe non négligeable dans le Lean management. Elle permet d’éviter des situations dérangeantes, tout en occasionnant des plus-values. La prise en compte de l’ergonomie permet de réduire les mouvements et leurs impacts.

    Les gestes inutiles ou mal pensés sont source de surcoûts, de TMS, voire d’accident de travail. Le premier objectif de cette démarche est de provoquer une meilleure qualité de vie au travail, ainsi qu’une meilleure sécurité. Grâce aux gestes économisés, vous pourrez également améliorer votre productivité.

    Beaucoup de mouvements tels que la marche, la recherche, ou les déplacements en général n’apportent pas de valeur ajoutée au client. Ils font partie des gaspillages. Ils sont pourtant omniprésents dans notre quotidien, que ce soit dans les bureaux ou à l’atelier.
    Dans ces mouvements, certains sont pénibles, voire fatigants. Les postures inconfortables font partie du travail de beaucoup de gens. Leur élimination est source de gain et de confort.

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    Les principes de l’ergonomie

    Pour donner suite à un accident ou à une blessure, il est courant de devoir aménager le poste d’un homme ou d’une femme en fonction de ses capacités. C’est quelque chose d’important. Mais les capacités de tout le monde étant différentes, pourquoi ne pas adapter tous vos postes à l’individu qui l’occupe ?

    Lorsque la conception d’un poste n’a pas été suffisamment réfléchie, cela peut occasionner de la fatigue visuelle ou mentale, des traumatismes physiques, mais aussi du stress.

    Pour concevoir et reconcevoir les postes de travail au mieux, il est important de garder à l’esprit que chaque personne est différente. Chacun possède ses forces et ses faiblesses, et surtout des tailles et morphologies différentes. Évidemment, vous ne pouvez pas faire coïncider parfaitement chaque poste à chaque employé… Mais vous pouvez rendre votre poste de travail adaptable !

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    Les postes de travail adaptatifs

    Pour permettre à chaque employé d’être le plus à l’aise à son travail, il existe aujourd’hui dans beaucoup de domaines des espaces de travail qui s’adaptent aux besoins de l’utilisateur. C’est valable dans l’atelier, avec des tables de travail et des sièges réglables en hauteur, pour avoir la bonne longueur entre l’assise, le sol, et les avant-bras.

    C’est également valable dans vos bureaux, avec des chaises réglables au niveau des lombaires, de la nuque ou des accoudoirs. Le réglage en hauteur du bureau est aussi utile pour vaincre le mal de dos. Renseignez-vous sur les outils existant pour installer au mieux vos collaborateurs.

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    Quelques bonnes pratiques d’ergonomie

    Lors de la conception d’un poste de travail sur machine, il existe de bonnes pratiques qu’il est important d’avoir en tête. Attention, ces conseils sont là pour vous aider, mais ils ne remplacent pas l’aide que pourrait vous apporter un ergonome.

    Pour les mouvements des bras, essayez de les réduire. L’idéal est de faire bouger les deux mains en même temps, soit dans la même direction, soit dans des directions opposées. L’amplitude et la force sont les deux facteurs à réduire lors d’actions. Pour les mouvements du corps, le principe est le même. Il faut éviter les pivotements, et les déplacements du centre de gravité.

    Pour faciliter le travail au poste, placez autant que possible les composants près de l’opérateur, en face de lui. Aidez-vous si possible de la gravité pour les déplacer en les positionnant légèrement en hauteur.

    L’utilisation de postes de travail standards dans votre atelier est une solution de facilité, cependant, privilégiez les tailles minimales adéquates. De cette manière, vous réduirez l’espace occupé inutilement, et cela limite l’amplitude des mouvements. En effet, il est courant d’utiliser l’espace de travail disponible même s’il n’est pas indispensable.

    Une fois les travaux d’ergonomie avancés dans votre atelier, n’hésitez pas à employer des standards pour communiquer au mieux sur les bonnes pratiques. Prodiguer une formation à tous vos collaborateurs peut aussi être un moyen de partager cela.

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    Pour conclure

    Après avoir lu ces conseils, vous aurez peut-être envie d’analyser vos postes de travail pour y trouver des pistes progrès ? Parlez-en aux personnes concernées, ils vous donneront la motivation nécessaire.

    Ces quelques conseils vous permettront peut-être d’avancer. Bien que nécessitant un investissement, ces idées peuvent faire avancer votre société. N’hésitez pas à communiquer autour d’aménagement en ergonomie avant de commencer à les mettre en place. Le confort, la réduction des TMS et des risques de blessure apporte autant à l’employé qu’a l’employeur. Négliger ces points apporte des coûts souvent ignorés.

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  • Le Lean Manufacturing, un impact au-delà des ateliers ?

    Le Lean Manufacturing, un impact au-delà des ateliers ?

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    Le Lean Manufacturing, un impact au-delà des ateliers ?

    [/et_pb_text][et_pb_image src=”https://teeptrak.com/wp-content/uploads/2024/12/trait-horizontal.png” _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” title_text=”horizontal-split” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″][/et_pb_image][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ text_font=”|300|||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px”]

    Alors qu’en 1913 Henry Ford mettait en place une organisation très productive orientée autour des flux, on ne parlait pas encore de Lean Manufacturing, Lean Office ou même de Lean. Aujourd’hui, on peut affirmer sans prendre de risque qu’il était le premier à utiliser ces concepts.

    La réelle naissance du Lean a bel et bien eu lieu dans un atelier, juste avant la deuxième guerre mondiale en 1937. Vous ne serez pas étonné de lire que Toyota, au Japon est le berceau du Lean Management. Ils ont fondé leurs méthodes sur la réduction des pertes de valeur ajoutée.

    Après le conflit, alors que l’approvisionnement en matières premières et en pièces de rechange est difficile, ils créent la logique du Jidoka pour repérer les défauts le plus en amont possible et ne pas avoir à réparer.

    Dans les années 50, l’usine Toyota s’inspira des modèles américains pour augmenter leur productivité, ils développent alors le juste à temps et tous les outils qui le permettent.

    En 1990, c’est la naissance du mot « LEAN ». Des membres du MIT formalisent ces principes dans un ouvrage intitulé « The Machine That Change the World ». Il connaît un succès mondial et porte la culture Lean aux yeux de l’industrie planétaire.

    [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ text_font=”|300|||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px”]

    L’essor du Lean ces dernières années

    Avec la mondialisation et donc l’augmentation de la concurrence depuis la fin des années 90 et jusqu’à aujourd’hui, beaucoup d’entreprises ont choisi d’orienter leur stratégie vers une meilleure productivité. Une accélération du besoin en performance a lieu. Bien que cela soit favorable au consommateur avec à la clé une offre qui grandit et une baisse des prix, c’est aussi la fin pour ceux qui n’arrivent pas à s’adapter.

    De nos jours, la philosophie du Lean management est « acquise ». Elle fait partie des bonnes pratiques et tous les industriels en utilisent certains principes. Peut-être ne le nomment-ils pas comme ça, mais la performance y est tellement liée que lorsqu’ils travaillent sur une amélioration, ils font appel sans le savoir à des éléments du Lean.

    Les grands groupes sont très friands du Lean Management, c’est pour eux la meilleure solution pour produire mieux et plus vite. C’est vrai, et ils fédèrent leurs employés autour de cela. Aujourd’hui, les 5S, Kaizen et autres chantiers visuels sont souvent utilisés comme levier de communication interne. C’est un bon moyen d’investir ses équipes dans la dynamique d’amélioration continue. Faire du Lean la philosophie de l’entreprise en l’inculquant à ses salariés est une bonne méthode d’aller plus loin. Mais quel est le niveau à atteindre demain ? 

    [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ text_font=”|300|||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px”]

    Le digital Lean, la porte ouverte au progrès

    Aujourd’hui le Lean management n’a pas changé ses principes. Il n’a pas changé d’objectif, mais alors que les intéressés le déploient depuis plusieurs années, leur méthode commence à s’essouffler. Tout le monde peut se retrouver dans cette situation. La productivité a bondi, la qualité s’est améliorée, puis maintenant que tout est en place… Il n’y a plus d’amélioration possible…

    Le premier principe du Lean est « l’amélioration est infinie ». Mais alors, quelle direction prendre pour continuer à augmenter la valeur ajoutée ?

    Au 21e siècle, les nouvelles technologies sont là pour nous aider. Et si votre atelier est équipé de tous les outils menant à une performance sans faille, pouvez-vous dire la même chose de vos administrations ? Et si tous vos services jouissent d’une performance hors du commun grâce au Lean Management, pouvez dire de même sur la communication entre départements ?

    Voilà les pistes d’améliorations de demain, utiliser les nouvelles technologies pour gagner, sur tous les fronts.

    Alors que vos indicateurs issus du Lean Management dans l’atelier sont fiables, qui les met à jour ? Vos chefs d’équipes utilisent leur temps précieux pour écrire des rapports quotidiens, hebdomadaires ou mensuels dans le but de remonter les résultats. Et les chiffres, sont-ils justes ? Aujourd’hui, grâce à des outils appartenant aux nouvelles technologies, vous pouvez faciliter les mesures et les reportings. Vous pourrez faire ainsi gagner des heures par semaines à vos managers pour leur offrir la possibilité de trouver de nouvelles améliorations.  

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    Le Lean Office, pensez-y

    Le Lean Office, c’est l’adaptation des principes du Lean à tous les autres services que la production. On parle des bureaux par opposition à l’atelier. Beaucoup de possibilités d’amélioration s’y trouvent, aussi bien à travers la communication, les systèmes d’information ou en comptabilité. Nous allons parler de ce dernier :

    Le Lean Accounting est aussi le parfait exemple d’amélioration des services supports. Il est à la comptabilité ce qu’est le Lean Manufacturing à la production. Méconnu et beaucoup moins utilisé que son grand frère, le Lean Accounting a fait ses preuves dans nombre d’entreprises. Grâce à l’application de différents principes, comme l’organisation des coûts par chaîne de valeur, le changement de la valorisation des stocks ou encore la modification des rapports budgétaires, il permet de tirer la performance financière de l’établissement vers le haut. Qui a dit que le Lean se passait uniquement dans l’atelier ?

    Ainsi, l’amélioration dans le cadre du Lean n’est pas terminée, et de nombreuses possibilités s’exposent encore à vous. Seulement quelques exemples ont été cités, mais les nouvelles technologies et le Lean Office nous offrent encore beaucoup de moyens de briller. Maintenant, plus de raison de douter, l’amélioration n’est toujours pas finie…

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  • 5 niveaux de maintenance à mettre sous le sapin

    5 niveaux de maintenance à mettre sous le sapin

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    5 niveaux de maintenance à mettre sous le sapin

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    Alors que les fêtes de fin d’année approchent, pour les industriels l’heure est au bilan. Quelle a été la productivité des machines cette année ? Chez les usines sondées, environ 5% des arrêts non planifiés ont lieu suite à des pannes ou à de la maintenance en 2020. Pour un tiers d’entre elles, les pannes représentent 20% des causes d’arrêt annuelle.

    Les conséquences peuvent être graves avec une livraison du client hors délais, ou pire : Le stress généré par le besoin de rattraper ce retard est accidentogène…

    [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ text_font=”|300|||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px”]

    Le meilleur moyen de les éviter : la TPM

    La TPM (Total Productive Maintenance ou Maintenance Productive Totale en français) est une culture d’entreprise issue du LEAN Management. Elle promeut l’efficacité maximale des équipements de production. Son but est d’obtenir « 0 accident, 0 panne, 0 défaut ».

                 L’objectif de cette philosophie est de produire plus et mieux en s’attaquant aux gaspillages (ou Mudas). Rapporté aux machines, cela implique de chercher à maximiser le temps productif, de s’assurer que cette production se fait aux cadences optimales tout en produisant des pièces conformes. Ce sont les 3 axes mesurés par le TRS : Disponibilité, Performance et Qualité.  

                 Le principal changement est dans l’état d’esprit avec une coopération entre les services, notamment entre la production et la maintenance. Le technicien maintenance deviendra alors en plus un conseiller technique et travaillera avec les opérateurs.

    Avec la TPM, 5 niveaux de maintenance sont en jeu.

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    Maintenance niveau 1 ou Auto-maintenance

    La maintenance niveau 1 est le premier niveau de maintenance, elle est préventive. L’opérateur la réalise en suivant un standard ou une checklist, et à l’issue d’une formation. Il s’agira de contrôles visuels, de graissages ou encore de mesures simples. Elle est périodique et rapide, à chaque prise de poste ou début de chaque journée par exemple. La fréquence est à définir par rapport aux données du constructeur, à l’historique des pannes ou à un éventuel AMDEC.

    La maintenance niveau 1 implique l’opérateur et le fait monter en compétences. Il devient capable de déceler des faits anormaux, vibrations ou usures. En parallèle, l’utilisation du 5S permet d’avoir des machines propres et rangées. C’est un gain de temps pour l’acteur de la maintenance et cela permet de déceler plus rapidement les problèmes éventuels – les fuites par exemple.

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    Maintenance niveau 2

    Le niveau 2 de maintenance fait également parti de la prévention. Il s’agit de remplacement périodique de pièces, ou de réglages qui sont réalisables en suivant une procédure.

    Le plus souvent les techniciens de maintenance s’en chargeront, bien que certains opérateurs impliqués, expérimentés et surtout formés peuvent y prétendre.

    [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ text_font=”|300|||||||” text_text_color=”#000000″ text_font_size=”16px”]

    Les autres niveaux de maintenance (3-4-5)

    Les autres niveaux de maintenance nécessitent le plus souvent d’arrêter la production. Des étalonnages ou réglages peuvent être nécessaires. Des connaissances approfondies sont indispensables, elles peuvent être internes ou externes.

    A ce moment, l’opérateur se retrouve au « chômage technique ». Le développement de la poly-compétence peut certes limiter les pertes en temps humain, mais la disponibilité de la machine est quant à elle impactée.

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    Les congés, comment profiter de ce temps d’arrêt ?

    Lors de la fermeture de l’atelier, le temps de maintenance est hors temps de production. Voici donc le moment d’effectuer les maintenances de niveaux trois, quatre et cinq. De cette manière, ces opérations n’ont pas d’impact sur la production.

    De plus les techniciens et autres intervenants sur machine ne subissent pas la pression du manager prêt à tout pour gagner quelques minutes et atteindre ses objectifs. Attention cependant à ne pas tomber dans l’excès de maintenance, ce qui engendrerait des coûts non nécessaires. Ce serait du gaspillage ! Mais comment connaitre le bon moment pour cet entretien ?  Et si la production ne s’arrête pas aux congés ?

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    Une production sans arrêt

    Si la production ne s’arrête pas durant les congés, on ne possède plus de créneau pour effectuer ces maintenances de niveaux trois, quatre ou cinq. Chaque arrêt va entacher notre disponibilité et donc directement notre production. Dans ce cas, il est nécessaire de choisir le meilleur moment pour intervenir sur vos machines. Une intervention prématurée est un gaspillage de temps. A l’inverse, négliger les besoins de la machine est une erreur. Cela peut induire de la non qualité, une panne ou pire, la mise en danger des personnes gravitant dans l’atelier.

    Il sera bientôt possible grâce à l’IoT de connaitre l’état des composants interne aux machines, et par la même occasion de prédire le moment idéal d’intervention. Cela permettra de maximiser l’utilisation des outils de production en limitant les arrêts. C’est la maintenance prédictive.

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    Pour conclure

    Alors que votre équipe de maintenance donnera tout son possible pendant la fermeture de l’usine, ne serait-il pas temps de se questionner sur l’impact des arrêts pour panne sur la production ? Si vous êtes équipé d’un outil d’analyse de la performance comme PerfTrak, vous avez connaissance de ces chiffres.

    Mais les outils LEAN sont-ils déployés pour traiter ces informations et gagner en productivité ? Et si vous ne possédez pas d’outil d’analyse, avez-vous une idée du coût des arrêts de vos machines de production ? En attendant de trouver les réponses à ces questions,

    Joyeuses fêtes de la part de toute l’équipe de TEEPTRAK

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  • Les 7 gaspillages du Lean : comment s’en défaire ?

    Les 7 gaspillages du Lean : comment s’en défaire ?

    [et_pb_section fb_built=”1″ _builder_version=”4.16″ global_colors_info=”{}”][et_pb_row _builder_version=”4.16″ background_size=”initial” background_position=”top_left” background_repeat=”repeat” global_colors_info=”{}”][et_pb_column type=”4_4″ _builder_version=”4.16″ custom_padding=”|||” global_colors_info=”{}” custom_padding__hover=”|||”][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ custom_margin=”||0px|||”]

    Les 7 gaspillages du Lean : comment s’en défaire ?

    [/et_pb_text][et_pb_image src=”https://teeptrak.com/wp-content/uploads/2024/12/trait-horizontal.png” _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” title_text=”horizontal-split” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″][/et_pb_image][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ text_font=”|300|||||||” text_font_size=”16px” text_text_color=”#000000″]

    Après avoir connu un léger rebond en juillet la production industrielle Française peine aujourd’hui à retrouver son niveau de croissance avant crise avec une hausse de seulement 1,3% au quatrième trimestre. A l’exception de l’industrie agroalimentaire les autres secteurs sont particulièrement fragilisés et exposés, les industriels se doivent donc de produire de manière plus efficace. Le meilleurs moyen est de mettre les 7 gaspillages dans le viseur.

    Le Lean manufacturing est une méthode d’optimisation de la performance industrielle particulièrement adaptée à ce contexte, qui vise à mieux respecter les exigences de coût-qualité-délai. Il s’agit d’analyser de manière détaillée les différentes étapes qui constituent le processus de production puis, à chasser tous les gaspillages identifiés tout au long du processus de fabrication permettant alors d’être plus efficace et plus rentable.

    Le Lean Manufacturing est donc basé sur l’élimination des Gaspillages (ou Muda) au sein des processus de production. Mais quels sont ces différents gaspillages ? Quels impacts ont-ils sur votre rentabilité ? Comment éliminer ces gaspillages ? Nous tenterons d’y répondre dans cet article en les identifiant et en vous proposant des pistes d’amélioration.

    [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ text_font=”|300|||||||” text_font_size=”16px” text_text_color=”#000000″]

    Qu’est-ce que les gaspillages dans le Lean ?

    C’est très simple, le gaspillage est défini comme une activité que le client n’est pas prêt à payer et/ou qui n’ajoute aucune valeur au processus. Ils sont d’ailleurs connus et acceptés par tous par habitude ou par peur du changement.

    Les études montrent que seulement 5% du temps attribué à la création d’un produit son réellement à valeur ajoutée, le reste représente des tâches qui implique plus de main d’œuvre, de matériaux ou d’espace mais qui ne renforce pas sa valeur. Il est donc plus que nécessaire de se concentrer sur la réduction ou l’élimination des 7 gaspillages afin de produire de manière plus efficace.

    C’est par l’intermédiaire d’une chasse aux gaspillages que vos processus deviendront plus riches en valeur ajoutée, vous permettant ainsi d’identifier des occasions d’améliorer vos performances globales.

    [/et_pb_text][et_pb_text _builder_version=”4.21.0″ _module_preset=”default” hover_enabled=”0″ sticky_enabled=”0″ text_font=”|300|||||||” text_font_size=”16px” text_text_color=”#000000″]

    Les 7 gaspillages traditionnels du Lean

    Voici les sept gaspillages, mis en évidence par Taiichi Ohno (Ingénieur chez Toyota et père du système de production de Toyota).

     

    Les mouvements inutiles

    Bouger ne signifie pas nécessairement que l’on travail ou que l’on réalise bien sa mission, les déplacements inutiles sont un gaspillage qui n’apportent aucune valeur ajoutée pour le client. Prendre les dernières pièces au fond d’une palette, contourner un obstacle ou chercher un document mal classé sont rarement compatibles à la notion de rendement.

    Qui n’a pas déjà été confronté à un technicien maintenance arrivant sur une panne avec une boite à outils incomplète, entrainant des allers-retours inutiles voir un arrêt de la ligne de production…

    La solution ? Observez vos postes opérateurs et produisez dans un environnement 5S, cela vous évitera perte de temps, gaspillage d’énergie voire des blessures potentielles.

     

    Le temps d’attente

    L’attente comme tout le monde vous la subissez tous les jours, l’attente dans les embouteillages, l’attente d’un courrier, l’attente d’une réponse… En usine le temps d’attente est souvent causé par l’attente d’arrivée de matériaux, d’instructions appropriées pour commencer la fabrication ou d’un équipement d’une capacité insuffisante.

    Pour pallier à cette ensemble de temps à non-valeur ajoutée des outils existent, comme la méthode TPM (Total Productive Maintenance) ou la méthode SMED (changement rapide d’outils). Mais vous pouvez également utiliser des instructions de travail standardisées et formez des travailleurs polyvalents et flexibles capables de s’adapter rapidement aux exigences du travail. Cette dernière permettrait d’ailleurs de réduire jusqu’à 50% votre temps d’attente !

     

    La non-qualité

    En 2017 l’AFNOR a réalisé une étude sur les coûts de la non-qualité en industrie. Cette étude a ainsi démontré que chez les 2 tiers des entreprises déclarant effectuer une mesure des coûts de non-qualité, les pertes en lien avec cette dernière sont de l’ordre de 5 % du CA. Ainsi en se concentrant sur les problématiques de non-qualité, les entreprises pourraient récupérer 5 à 10% de leur CA.

    Ce gaspillage a en effet de fortes conséquences sur la satisfaction client et peut entraîner des coûts. Constater la non qualité d’un produit peut par exemple nécessiter la mobilisation de main d’œuvre supplémentaire (intérimaires/CDD) pendant une période donnée pour répondre aux problématiques clients.

    Ici aussi produire dans un environnement 5S et mettre en place des détrompeurs (Poka-Yoke) sont des leviers de progrès intéressant pour éliminer les retouches et les rebuts.

     

    La surproduction

    La surproduction consiste à produire de façon excessive par rapport aux réelles commande client, cette anticipation est souvent motivée par la peur de manquer et de ne pas pouvoir répondre à l’éventuelle demande.

    Mais plutôt que de produire des produits juste au moment voulu par la philosophie « Just In Time » , la méthode de travail « Just In Case » soulève de nombreux problèmes, entrainant du temps de production inutile, des coûts de stockage et des dépenses en matière première.

    La production en flux tiré à partir du besoin client (kanban), en flux continu (takt time) ou former votre personnel sont autant de solutions pour remédier à ce gaspillage.

     

    Les stocks inutiles

    Le stock c’est de l’argent qui dort ! Souvent lié à la notion de surproduction ou de mauvaise planification ce gaspillage engendre une immobilisation financière et une perte d’espace de stockage. Dans un autre contexte, cela pourrait correspondre à une accumulation d’emails ou de factures.

    Parmi les mesures à prendre pour pallier à ce problème nous pouvons citer : l’achat de matières premières uniquement lorsque cela est nécessaire et en quantité suffisante, la réduction des zones tampons et la création d’un système de files d’attente pour éviter toute surproduction.

     

    Les opérations inutiles

    Vous retrouverez également ce type de gaspillage dans votre quotidien, lorsque, avant de prendre la route pour des vacances bien méritées, vous vérifiez plusieurs fois si les portes et le gaz sont bien fermés. En usine ce gaspillage correspond à toute action ou tâche qui n’apporte aucune valeur ajoutée au client.

    La routine, la tradition du métier laissent apparaître des opérations que le produit ne requiert pas ou plus. Une analyse de chaque opération réalisée peut mettre en lumière ce type de gaspillage. Voici une liste d’exemples : Trop de contrôle qualité sur une pièce pendant son processus de fabrication, mise en place de caches avant les opérations de peinture, élimination du surplus de matière avant que l’opération sur la machine outils soit terminée.

     

    Les transports inutiles

    Cela concerne les transports inutiles de matériaux, de pièces, de produits, de documents ou d’informations. Ce gaspillage peut être dut à des mauvaises habitudes ou à une mauvaise organisation des postes de travail.

    Une solution ? La création d’une cellule U ! En effet un atelier avec une configuration en U regroupera des ressources dans le but d’effectuer les différentes opérations sur la même pièce au sein de la cellule. Ainsi les transports et les attentes entre machine sont considérablement réduits.

    Depuis quelque temps, au côté des 7 gaspillages traditionnels, un huitième est de plus en plus cité.

     

    La sous-utilisation des compétences des collaborateurs

    Ce gaspillage est assez méconnu car n’apparait pas dans le système de production Toyota. Cependant il est évident qu’en ne faisant pas appel aux compétences de ses collaborateurs, travaillant en première ligne, il devient difficile d’améliorer les processus.

    Vos collaborateurs sur le terrain sont en effet les plus aptes à détecter les problèmes et à y apporter des solutions, ils jouent donc un rôle non négligeable dans votre démarche d’amélioration continue.

    La notion de gaspillages est importante car elle sera le moteur de votre démarche Lean, c’est d’ailleurs par la simple observation de ces différents gaspillages que s’est créé tout le système de production chez Toyota. On estime d’ailleurs qu’une entreprise n’ayant pas déployé de démarche Lean consacre moins de 20 % à apporter de la valeur ajoutée. Imaginez que le reste du temps est distribué entre les 7 gaspillages. Les entreprises ayant une certaine maturité Lean consacrent 80% à la valeur ajouté. Alors, prêts à passer le cap ?

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